@taktak
Je suis désolé Taktak mais vous esquivez. l’article 50 ne parle pas de sortie « négociée ». Relisez encore une fois. Dans les textes juridiques tous les mots ont un sens. Ce qui n’est pas prévu dans une texte juridique n’existe pas. Vous avez beaucoup de mal à le comprendre. C’est la raison pour laquelle je vous ai demandé qu’elle était votre niveau de formation juridique. Je me rends compte, à la lecture de vos différents « posts », que vous n’avez pas de formation juridique. Vous abordez l’article 50 comme un commentateur lambda et non comme un juriste. Il vous est impossible de comprendre les subtilités que contient cet article. Ce n’est nullement une critique mais un constat.
L’article 50 stipule, expressément, que « l’Union négocie et conclut avec cet Etat un accord fixant les modalités de son retrait ». Vous aurez compris, Taktak, que se sont « les modalités » du retrait qui sont négociées. Oui ou non ? Il est bien question de négocier les modalités de sortie n’est-ce pas ?
Je poursuivis. L’article 50 ne s’arrête pas là. Il indique qu’il s’agit de tenir compte des « relations futures avec l’Union ». Vous avec donc, sous les yeux, le domaine juridique dans lequel s’inscrit les négocations qui doivent avoir lieu. Je résume : il s’agit de négocier les modalités qui définiront les relations futures entre le pays sortant et l’Union. Nous sommes donc à des années lumière de ce que vous dites, pensez et analysez.
L’accord de retrait qui sera conclut entre la France et l’UE définira, par conséquent, les relations futures entre ces deux entités. Voilà ce dont il s’agit Taktak. Votre méconnaissance du droit vous entraîne vers des suppositions impossibles.
L’article 50 envisage donc la négociation d’un accord sur les relations futures de la France et de l’UE.
Libre à vous de penser que ces négociations représentent un système autobloquant empêchant pendant 2 années la France de recouvrer sa souveraineté. Votre analyse de l’article 50 est corrompue. Vous vous êtes enfermé dans votre idée, celle de votre article. Mais vous n’êtes pas un spécialiste du droit et vous vous êtes planté.