@njama, sur le fond vous avez raison et en même tant il y a un paramétré régulièrement occulté qui est devenue une constance de nos sociétés modernes, c’est l’alliance contre nature entre la finance et la politique , cela ne dates pas de la Vièmes Républiques cela est plus ancien cela datte de Millerand,
qui était le président du Conseil de Paul Deschanel, lui succède le 23 septembre 1920 en obtenant de l’Assemblée nationale (le Sénat et la Chambre des députés réunis) 695 suffrages sur 892 voix..
Le fameux 1% qui possède la moité des richesses nationale, démontre bien toute l’impuissance où pour être un peu plus claire la collusion pour évité la mutualisation des pouvoirs et surtout éliminé définitivement les contres pouvoirs .
Avec 40 ans l’État providence , les technocrates sont arrivé à leurs fin, un troupeau de mouton.
( Le compagnon de Pantagruel, Panurge, s’est embarqué
pour le pays des Lanternes. Sur le bateau il rencontre Dindenault,
marchand de moutons qui emmène un troupeau avec lui.
Panurge, ayant obtenu pour un prix élevé l’une des bêtes, la
saisit et la jette à la mer. Tous les moutons suivent et se précipitent
dans les flots, avec le marchand qui tente de les retenir.
C’est depuis cette époque que l’expression "les moutons de
Panurge" désigne les gens qui suivent les autres sans réfléchir.
"Soudain, je ne sais comment, le cas fut
subi, je n’eus loisir de le considérer, Panurge, sans autre chose dire,
jette en pleine mer son mouton criant et bêlant. Tous les autres
moutons, criant et bêlant en pareille intonation, commencèrent à se
jeter et à sauter en mer après, à la file. La foule était à qui le
premier y sauterait après leur compagnon. Il n’était pas possible de les
en empêcher, comme vous savez du mouton le naturel, toujours suivre le
premier, quelque part qu’il aille".
Rabelais, Pantagruel : Le Quart Livre, chapitre VIII. )