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Commentaire de bakerstreet

sur Michel Drucker, majeur et vague ciné


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bakerstreet bakerstreet 7 mars 2016 12:41

@Piere Chalory
Et c’est vrai, le jazz est constamment utilisé dans beaucoup de films d’auteurs de ces années là. Sans doute que cette musique solaire va bien à la peau de ces années là, et permet des représentations sexuelles qui sont bien plus parlantes que les obscénités érotico pornographiques qu’on a vu ensuite. Le cinéma des années 60 est au summum de son art. Tout juste si l’on sait encore que c’est un art, comme une jeune fille qui ne sait pas encore qu’elle est belle. Mais à force de trop s’étudier, le genre perdra beaucoup de sa force. Des formations de jazz faisant chorus, on n’en verra beaucoup, de la « dolce vita » ou « a bout de souffle » ou « le pigeon »....Des gens que notre divin Drukker et son sourire de croque-mortaseptisé n’a jamais invité, même quand ils étaient dans l’ascenseur. ...Un engin qui monte et qui descend et parfois où l’on tombe ; ça me rappelle « chronique d’un amour » d’Antonioni, un cinéaste formidable : « Blow up »....J’arrête là et préfère prendre l’escalier de service pour descendre, de peur de rencontrer Druker. Merde, ce type prend il un k ou deux, pas la force de vérifier. 


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