@julius 1ER
Et pourrait on savoir où ces deux grands penseurs ont réussi à améliorer la condition de classe sans que leurs fans massacrent tout le monde,
Le franc-maçon Lénine a dit : « Nous pouvons et nous devons écrire dans un langage qui enflamme les masses pour les dégoûter et les faire haïr ceux qui ne sont pas d’accord avec nous. »
La liste de ces fusillades et autres exécutions ont été publiées dans le journal hebdomadaire de la Tcheka. De cette façon nous pouvons prouver que 1,7 million de personnes ont été exécutées durant la période 1918-1919. Une rivière de sang s’est mise à courir à travers la Russie.
La Tcheka a dû employer des personnes pour compter les corps. D’après les rapports officiels soviétiques, datant de mai 1922, ce sont 1 695 904 personnes qui furent exécutées de janvier 1921 à avril 1922. Parmi ces victimes, l’on trouvait des évêques, des professeurs, des docteurs, officiers, policiers, gendarmes, avocats, personnels civils, journalistes, écrivains, artistes, des infirmières, des ouvriers, et des agriculteurs. Leur crime était pensé « antisocial ». Les yeux étaient désorbités, les oreilles et les nez étaient tranchés. Les tchekistes de Kharkov plaçaient les victimes en rang-d’oignons et arrachaient les ongles des mains sur une table, leur trancher tout autour des poignets avec un couteau et leur versaient de l’eau bouillante sur les mains et tiraient afin de les dépecer. A d’autres endroits, on plaçait la tête des victimes sur des enclumes et on les éclatait doucement avec un marteau à pression vapeur. Ceci dû pour faire subir la même punition le jour suivant et être forcé à regarder. Les yeux des dignitaires de l’Eglise étaient désorbités, leur langue était tranchée, arrachée et ils étaient brûlés vivants. Ce sont les tchékistes qui étaient habitués à couper et ouvrir les estomacs de leurs victimes et à tirer dessus pour faire sortir le petit intestin qu’ils attachaient ensuite à un poteau de télégraphe, la victime était forcée de courir en rond autour du poteau jusqu’à ce que l’intégralité de l’intestin fut éventré et que la victime mourût. L’évêque de Voronezh a été bouilli vivant comme un porc, après quoi ce fut le tour des moines sur la tempe desquels on pointait un revolver pour les forcer à boire cette soupe. A Odessa, les officiers ont été bouillis dans une immense marmite. La calotte supérieur du crâne était sciée finement et une queue était forcée de manger la cervelle, ensuite la procédure était répétée ainsi de suite jusqu’à la fin de la queue. Juri lina