@Bernard D
Franchement je n’y connais rien à cette terminologie mathématicophysique et j’ai un grand respect pour tous ceux qui pratiquent cette langue. Je crois que ce que vous dites/référez/racontez/développez est exact.
Reste tout de même un mystère : le début. Est-ce en effet un gros coup de bâton qui a tout fait dégringoler ? (ceci dit je suis dans mon référenciel : ce que je vois de ma lucarne)
Si on excepte le début où tout a pété (?), je crains qu’il soit évident que quand un O- - (oxygène moins moins, donc paré pour la noce) rencontre deux jolies H +, la complémentarité ne faisant plus aucun doute, cela donne H2O (l’eau c’est la vie) ainsi cette reconnaissance (intrinsèque) EST de l’information. H2O est plus stable que ses composants célibataires. Quant à H2 et O2 qui se contentent de si peu, ils se sont rencontrés eux-mêmes. Du vent ...
Si on part d’un tout et que l’enjeu est de créer de la différence, le processus a tout bon. Mais, le tableau de Mendelieve nous a appris qu’on n’a pas besoin de rencontrer un élément pour prouver qu’il existe. Et même que quasi toujours -mais pas toujours - chacun sa ou ses chacunes.
Je redisais peut-être une bêtise en affirmant la nature de l’information (de l’énergie). On doit pouvoir progresser. Je disais également et ce n’est probablement pas une bêtise, que la nature ne se foulait pas. Elle ne se foule pas comme en témoigne cette molécule quasi parfaite H2O. C’est juste qu’il faut que cation et anion se rencontrent, s’ajustent comme papa dans maman et ce qui advient est probable.
Tout ce que vous dites et ce que je dis, peut être traduit en langue biologicobiochimicophysiologique et là c’est compréhensible.