Le problème du syndicalisme en France, c’est qu’il n’a jamais été question de défendre les intérêts moraux et matériels des catégories socio-professionnelles. Ce n’est qu’un tremplin pour les nuls pour faire une carrière politique. C’est la petite porte pour ceux qui ne sont pas à la hauteur pour la voie classique Science-PO ENA.Cette voie royale est déjà sujette à caution car elle n’est plus une formation adaptée aux problèmes d’aujourd’hui, j’ai déjà montré cela dans un précédent article.
C’est en particulier une des raisons du délitement de l’Éducation Nationale qui s’est fait sinon sous l’impulsion au moins avec la complicité des syndicats majoritaires.
Voici un extrait du wiki de DSK :
Pendant toutes ces années, les dérives de gestion de la MNEF sont innombrables : elles concernent les salaires (100 000 F par mois) et émoluments d’Olivier Spithakis et d’autres dirigeants, l’embauche prioritaire des militants de l’UNEF-ID, liés d’une manière générale au mouvement trotskiste, puis intégrés dans le parti socialiste comme Jean-Christophe Cambadélis ou Marc Rozenblatt, président de l’UNEF-ID. Le journal Le Point parlera du « binôme MNEF-Unef-ID : un vivier de jeunes loups socialistes ». Ces dérives comprennent également des « gestes » de complaisance tels 300 000 francs versés à SOS-Racisme par « le courtier d’assurances maison, l’Iram »