Commentaire de Robert GIL
sur Le code du travail, un refuge pour les siècles passés
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Au lieu du catalogue
de mesures nostalgiques d’un temps où le travail n’était pas ou peu
protégé, une telle ambition aurait pu et dû constituer une dimension
importante d’un code réformé pour faire face aux besoins d’aujourd’hui.
En choisissant de se concentrer sur des attaques du droit existant, au
lieu d’affronter les défis qui se posent aujourd’hui, le projet de loi
révèle ce qu’il est : un ensemble de mesures régressives et passéistes.
.
petite précision :
En 1981, les dividendes versés aux actionnaires représentaient
10 jours de travail par salarié .En 2012, ils en représentent 45 jours
soit,4,5 fois de plus, soit l’équivalent de 9 semaines de congé, et
aujourd’hui …qui a la réponse ?
Derniers commentaires
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23/03 08:20 - Le421
@lermontov Deux précisions... Un, le Code du Travail doit sa complexité aux nombreuses (...)
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22/03 15:32 - Jep
Libéraliser le marché du travail, ça sonne bien. Il faut revenir à une notion de base, (...)
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22/03 13:31 - tonimarus45
bonjour -Ce qui m’intrigue c’est qu’il y a eu sur « france 3 » je crois trois (...)
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22/03 13:22 - tonimarus45
@tonimarus45—« »a totalement autorise le travail de nuit des femmes« » fallait (...)
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22/03 13:20 - tonimarus45
@bcallens— tout a fait d’accord ; mais vous ne m« apprenez rien,surtout a moi ;Ceci (...)
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22/03 11:23 - gogoRat
Remarques concernant le chmilblik ’travail’ ( cf wikipédia) « Apparu au XIIe (...)
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