@OMAR
Tiens, le homard islamiste algérien qui éprouve encore le besoin d’étaler son antisémitisme obsessionnel et atavique
avec bien évidemment sa grossièreté et sa malpolitesse constitutive, sa bêtise et sa haine bien entretenue de la France, sans oublier la projection de ses fantasmes et autres délires étrangement tolérés sur ce forum ....
Pour rappel : l’UGIF est un organisme qui a été crée par Pétain après dissolution de toutes les organisations Juives de France et tous ses membres ont finis à Auschwitz.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Union_g%C3%A9n%C3%A9rale_des_isra%C3%A9lites_de_France
Mais vous oubliez toutes les autres organisations juives clandestines de résistance,
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sistance_juive_en_France
Vous omettez également de parler de ceux q’on appelait les SS Mohamed qui ont sévi en France (la légion Nord-africaine), et particulièrement d’un certain Mohamed El Maadi adjoint direct d’Henry Lafont, le chef de la Gestapo de Paris, et dont le CV est édifiant :
Mohammed el-Maadi quitte l’armée en 1936. Il intègre ensuite la Cagoule2. Durant l’occupation allemande, il milite au Mouvement social révolutionnaire, fondé par d’anciens cagoulards. Il devient ensuite le responsable des questions inhérentes au Maghreb au sein du Rassemblement national populaire de son ami Marcel Déat ou il organise le Comité RNP nord-africain.
Durant la même période, il entre en contact avec les cercles indépendantistes algériens présents en France et fonde en janvier 1943, un bimensuel « Er Rachid » qui est financé par l’Abwehr et atteint un tirage de 80 000 exemplaires3.
En 1943, Mohamed el-Maadi rencontre Henri Lafont, chef du bureau de la Gestapo parisienne avec qui il fonde la brigade nord-africaine officiellement constituée le 28 janvier 1944 avec le patronage d’Helmut Knochen, le chef de la Gestapo en France. Cette brigade est formée d’environ 300 Algériens, provenant essentiellement du quartier « de la Goutte-d’Or » à Paris4.
En août 1944, il se réfugie avec son épouse en Allemagne où il est accueilli par le Grand Mufti, Amin al-Husseini.
Il serait décédé en Égypte entre 1954 et 1957.