L’auteur a bien pressenti les choses : il y a quelque chose de pourri dans le R&R.
On lira donc avec délectation ces articles traduits sur le site Triangle qui montrent sans aucune équivoque que le R&R, « l’art moderne et les croutes du MOMA », une bonne partie du cinéma, de la mode, de la « culture » de ces 50 dernières années sont des opérations d’ingénierie sociale décidées et pensées sous les lambris de la CIA, du Tavistok Institute et autres think thank mondialistes, de même que le féminisme, l’homosexualisme jusqu’aux LGBT actuels.
http://triangle.eklablog.com/
On cherchera sur les sites anglo-saxons, le web français est à pleurer, stade encore infantile.
La plus belle opération aura été Woodstock, managée de A à Z par la CIA pour voir ce que ça ferait de couper du monde pendant plusieurs jours, sans hygiène, sans bouffe, dans la bouillasse, 500 000 connards décérébrés sous acide. Le résultat a été au-delà de toutes les espérances, les porcs ont réclamé encore plus de fange pour s’y vautrer.
Toutes vos stars du R&R des années 60 et 70 ont toutes des relations avec le renseignement US ou UK, de Morrison à Zappa, sans oublier la bande de zozos du Laurel Canyon, où l’on croise la CIA, les satanistes, la NASA, le tout Hollywood (de Beaty à Nicholson en passant par Mansfield ou Monroe, la famille Fonda ou encore D Hopper, .....), le gratin de la pop musique sous acide.
Quant à Jesse Hughes, le trublion du Bataclan, c’est un pote de Bill Gates. ça c’est pour les neuneus actuels.
La matrice commençait au premier 24 décembre d’un nouveau né quand il attendait son premier Père Noël, avant que Lennon ou Madonna ne viennent saccager son être.
Actuellement, ça commence in-vitro avec les ondes électromagnétiques (la tablette WIFI sur le gros ventre de Maman qui achète sa merde IKEA bourrée de perturbateurs endocriniens) qui agissent en aval et déglinguent le futur nouveau né.
Les vaccins vont chopper ceux qui auront encore quelques neurones.
La suite est logique.
Une vie de misère, avec la maladie ou l’amoindrissement pour compagnons.
Une amie est nounou chez les jeunes cadres dynamiques « connectés » (bonnes familles, gros QI, du pognon, du bon génome) : sur les 8 gamins qu’elle a gardé depuis 5 ans, 4 avaient des problèmes de santé très sérieux, des malformations congénitales (il manque des muscles, becs de lièvres, pbs cognitifs...), et tous les autres sont anormalement malades et ont déjà tous connu les urgences.
Ce qu’il y a de formidable, c’est que ce sont les parents eux mêmes qui flinguent leurs gamins par ignorance des choses techniques.
Après les ondes sonores du R&R et de son tintamarre suicidaire, voici venu le temps des ondes qu’on n’entend pas, mais qui font des ravages de bien meilleure qualité et promettent à big pharma de gros profits (il faudra se soigner toute sa vie), et aux gouvernements illégitimes de belles perspectives d’enfumage (conscience du populo atrophiée).
Et vu que personne ou presque ne bronche, ils ont un boulevard.
Allez vous prosterner devant vos maîtres Jaeger, le Mac Cartney, priez pour vos IPhone, courrez admirer les étrons jetés dans les jardins de Versailles, courrez, courrez, on sera plus vite débarrassés.
Dimitri Orlov mène une très bonne réflexion sur la grande bataille engagée entre la technosphère et la biosphère.
La technosphère ira jusqu’au bout du projet de Ray Kurzweil, jusqu’au « break event », car elle ne sait rien faire d’autre.
Les technophiles mondialistes ont décidé de challenger Dieu le Père.
Bien grand leur fasse.