Je ne crois pas que c’est intentionnel ; une machine n’a pas d’intention, elle n’est pas responsable, elle fait parfaitement ce pourquoi elle est programmée. Si il faut couper, elle coupe, sans morale, sans remords, sans âme ! L’inconscience et l’ignorance sont les responsables ! Une machine est une machine ! On ne peut blâmer une machine !

Pourtant, on sent bien la peur présente ; le réflexe conditionné ; autant des journalistes que de l’ensemble des politiciens du Québec ; l’inconnu fait toujours peur ; la peur d’être remis en questions et d’être contesté ; c’est la panique ; le branle bas de combat ; n’importe quoi sauf des arguments solides ; c’est le déversement de la poubelle sur la tête de ceux qui ne se conforme pas.

Les politiciens et les journalistes du Québec ont perdu la face devant Marine, et il ne faut pas que ça se sache ; c’est le déni ; le refus de la réalité ; à la violence verbale. Il faut vite cacher cela au québécois, d’un coup que la réalité tendancieuse, malicieuse, arrogante, de nos journalistes et de nos politiciens sautent aux yeux des québécois.

Malheureusement ou heureusement, cet événement est un marqueur, un révélateur, de l’alignement, tous partis politiques confondus, incluant les journalistes qui ont laissé faire, à l’oligarchie du 1% contre les peuples, qui doivent restés endormis à tout prix, même s’il faut utiliser toutes les bassesses humaines possibles.

Donnons le bénéfice du doute, si c’est encore possible, on ne sait pas, ils subissent peut-être des pressions qu’on ne connait pas, restons neutre, si c’est machinal ce n’est pas de leurs fautes !

Comme disait le Christ :« Pardonnons-leurs, ils ne savent pas ce qu’ils font ! »

Ou : l’histoire de la poutre et de la paille. Néanmoins, c’est très révélateur, merci bien à tous les acteurs, de où se dirige notre civilisation, de la confusion des langues, et de la guerre de tous contre tous. C’est essentiel que tous garde une certaine neutralité, en restant spectateur, en conservant son énergie, et en ne participant plus de manière trop active à un théâtre qui n’a plus de sens. Vaut mieux en rire que d’en pleurer : plus vite nous accepterons le démantèlement de notre civilisation, plus vite nous retrouverons une certaine paix intérieure ; celle du cœur ; la seule qui tienne ultimement.