@smilodon
Dans les mêmes eaux (âge) que vous, j’ai également grandi dans un pays européen avant « l’infusion » forcée d’une grosse dizaine de millions d’Africains et j’ai vu l’effondrement radical d’une civilisation.
Depuis plusieurs décennies j’ai reconnu vers quoi nous allons, vers quoi nous devons nécessairement aller (on ne se relève pas du triomphe des anti-valeurs du troupeau). J’étonnais toujours quand, in fine, je confiais que l’optimisme était néanmoins possible. Comme vous (quant à moi depuis longtemps) j’ai mis mon espoir dans la course de vitesse entre ma disparition physique et la survenue de la « France » « bougnoulisée », africanisée, féminisée, infantilisée, assistée, surveillée, sous le poing de fer de la dictature juive (pour cause de profits immédiats et par la manipulation médiatique)
En fait, en « France », il n’y a plus guère qu’en montagne (en montagne vraie, pas en stations !) que je peux encore me sentir en Europe. Heureusement que j’ai pu faire plein de choses...avant.
Quand le racisme, la xénophobie, l’antisémitisme (valeurs positives, fondatrices même - exclusion, rejet du non-soi - pour qui a analysé toutes les formes d’organisation) deviennent - fait inouï - des délits imputés aux « nationaux », quand on préfère l’inutile au notable, quand on promeut et rembourse les assassinats de foetus viables tout en s’acharnant à faire survivre les ratés, quand on organise la chasse au mâle, à l’instruction, à l’élitisme, à l’effort, au travail, il est évident que cela sent très mauvais...
Je me demande d’ailleurs si je n’ai pas été, lorsque j’étais petit, abusé sexuellement par un prêtre en culottes courtes nommé Barbarin
En plus le malheureux se prénomme Philippe, comme l’autre, celui des « zheures les + sombres... » comme ils disent.