@ baskerstreet
La confédération paysanne qui comme la plupart d’entre nous était pour la cohabitation a changé elle aussi sa vision :
Résumé : La Confédération paysanne se bat pour une agriculture paysanne, face à une agriculture industrielle prédatrice pour les paysans, les territoires et l’environnement. Elle défend le droit pour les paysannes et paysans de chaque peuple à vivre de leur activité et selon leur culture.
Le constat de la cohabitation impossible entre loups et pastoralisme n’est pas issu d’une idéologie « anti-loup ». Il ne s’appuie pas sur une défense corporatiste mais repose sur l’expérience de paysans bienveillants envers la biodiversité. Cette position est issue de la pratique de paysannes et paysans qui ont, pour certains, passé plus de vingt ans à essayer de « s’adapter », en vain.
Un discours très loin du votre M. Baskerstreet qui osez prendre référence sur ce syndicat.
Voici mon commentaire face à la déclaration de confédération paysanne avec qui je travaille :
TOUT CONCORDE, ON CROIRAIT UN ARTICLE SORTIT DU« LOUP DANS LE HAUT DIOIS ! »
Déclaration qu’il m’ont demandé de publier ici :
De toute manière aujourd’hui il n’y a que 2 solutions écrite par les instances Européenne et se posant comme seule et unique alternative pour des gens sencés :
1 - « Dans les zones ou évolueront les grands prédateurs, il faut de fortes restrictions à l’élevage »
2- "Ailleurs, dans les territoires inadaptés à sa présence : Secteurs du centre et de l’ouest de la France particulièrement axés sur l’élevage intensif ( vous commencez a comprendre ? Ndlr) où sa présence sera inappropriée. /…/ renforcement du prélèvement rendant le loup inapte à son installation /…/. ! (hé oui, vous voyez quand on veut on peut ! ndlr)
Vous êtes pour le retour des loups dans les zones d’élevage extensif ? Les industriels vous remercient, et les financiers vous congratules !