@Pierre JC Allard et les autres bonjour,
Il n’y a pas de demi-mesure quand on parle d’argent.
1. L’argent est fait pour rouler et pas pour rester dans les banques.
2. Tant que les certains pays profiteront d’une certaine « prohibition » établie par certains autres et donneront des moyens de faire dévier les taxes, existeront, c’est peine perdue.
C’est un choix.
Garder ses moyens financiers en local et qu’ils rapportent sans hémorragie taxatoire et donc vexatoire, cela créera des déplacements de fonds vers ce qu’on appelle des paradis fiscaux.
3. La distinction qui est faite entre les « offshores » pour raison de maintenance de capital en réserve pour conserver un cash flow non taxé et ce qu’on appelle les capitaux de l’argent noire qui lui passe par le même canal qui est punissable et qui ressemble étrangement à un réseau informatique avec des firewalls informatiques successifs pour cacher l’argent.
4. Les sociétés commerciales qui sont cotées en Bourse et des actionnaires, ont des devoirs vis-à-vis de ces derniers.
Les Etats qui sont gouvernés et élus démocratiquement, n’ont pas de devoirs de résultats. Les Etats sont immortels, ils ne font en principe jamais faillite. Quand cela ne marche pas, ils augmentent les taxes. Quand arrive les élections, tout change. Ce sont les promesses qui reviennent et qui prennent le dessus. Et on recommence.
L’émission « cash investigation » de hier était la suite logique d’une situation de non prise en charge du fait que l’argent est le sang de la vie et pas uniquement le nerf de la guerre.