Bonjour c’est nabum
Dénigrer (ci cela est étayé par des faits) et que la chose est d’utilité - mettre l’indélicat devant le fait accompli que cela soit un particulier ou une institution - n’est pas répréhensible en soi..
Maintenant se dégage plusieurs phénomènes, l’acharnement et la surexposition médiatique...(en ce moment les projecteurs sont mis sur l’omerta de l’église avec émissions, films, débats à foison... certes utiles puisque la parole se libère mais aussi suspect à mes yeux.. mettrait t’on sous les projecteurs telle autre institution/milieu pratiquant également une certaine omerta ? (religieuse, politique...)
L’effet domino est aux abonnés absents et pourtant c’est ce que devrait provoquer ce genre d’affaires..
Après, on donne en pature au public telle personne en révélant des faits qui relèvent de la vie privée (tant qu’il n’y a pas d’infraction caractérisée), comme par exemple dernièrement que tel ministre faché avec la paperasse, doit des arriérés de cantine alors que si ca se trouve l’homme excelle à son poste..
(il a semblé d’un coup que nous vivons dans un monde ou l’on avait toujours payé toutes ses factures en temps et en heure, jamais procrastiné... sauf ce pauvre gars sur lequel on s’est acharné..lui prêtant d’office des intentions malhonnêtes et faisant fi de ses explications.)
La concubine d’un président, lave l’humiliation de sa répudiation en dénigrant dans un livre, non seulement l’homme privé mais aussi l’homme public...et dans une forme de voyeurisme collectif associé il faut le reconnaitre d’un certain masochisme tout le monde ou presque en demande... Qui me dis je écrira un livre sur la donzelle ?
Au train ou ca va, je me demande si demain il ne nous faudra pas choisir nos candidats parmi les nouveaux nés d’une pouponnière... (sans retards de facture, sans paroles indélicates ni foirage sentimental)