Bonjour,
J’ai hésité à relater cette anecdote pour je ne sais quelle raison diffuse qui s’apparenterait à de la crainte de me dire raciste ou xénophobe, mais elle illustre pourtant bien l’article ci-dessus et cette fameuse mixité que l’on veut nous vendre « sociale » alors qu’elle est ethnique (Ta mère).
Je n’ai pas pu résister.
La voici.
J’ai vécu un an en HLM à Châlons en « Champagne ».
6éme étage, palier en L avec 4 appartements relativement spacieux. 3 familles classiques « de souche » papa au travail et maman à la maison et nous en couple.
Relations « normales », courtoises, bonjour / bonsoir, comment allez-vous, beau temps pour la saison, etc, en attendant l’ascenseur et enfants polis et respectueux.
Pas de bruits intempestifs, pas de musique trop forte, pas de cris, pas de télé hurlante. Bref, tout était on ne peut plus normal ou disons conventionnel.
Nos voisin de palier nous apprirent un jour qu’ils allaient déménager pour une maison avec jardin dans la banlieue.
Bon.
ils déménagèrent donc et immédiatement furent remplacés par une autre famille, musulmane celle-là ; papa, maman et 4 « charmants bambins » dont une fille et dont l’age se situait entre 2 et 16 ans, à peu prés.
Et ce fut l’enfer...
Cela commençât par l’occupation systématique du palier : Poussette, chaussures, vélos, poubelles, cartons, à tel point qu’avec deux sacs de courses il devenait difficile de passer.
Puis ce furent les cris, les coups dans les murs(? !!), les portes qui claquent, les odeurs, les jeux des enfants et leurs cris sur le palier et les hurlements de la mère, la porte de l’appartement ouverte en permanence.
Personne n’a osé leur en faire la remarque par crainte de la mine quasiment patibulaire du mari, jamais rasé sauf le crâne et sweet à capuche, mais aussi par correction et lassitude.
Que croyez -vous qu’il arriva ?
Nous sommes partis, et j’imagine que les autres locataires de ce palier ont certainement du faire de même, bien que je n’en ai pas confirmation.
J’habite aujourd’hui dans une rue pavillonnaire et calme, une maison de deux étages avec cour dans laquelle nous sommes deux couples colocataires respectueux de chacun.
Le bonheur.
Mixité dites-vous ? OK, mais pas avec ces gens-là.