@aimable
Léo Strauss :
Ce soi-disant savoir secret que Strauss inculqua à Pangle, Bloom, Werner Dannhauser et bien d’autres, y compris le protégé de Bloom, Paul Wolfowitz, n’est en réalité que du Nietzsche pur et dur, seuls les noms étant changés. Le « surhomme » de Nietzsche devient « le philosophe » ; chez Strauss.
C’est l’homme rare, capable de supporter la vérité. Cette vérité, c’est qu’il n’y pas de Dieu, que l’univers n’a que faire de l’homme et de l’espèce humaine et que l’entièreté de l’histoire humaine n’est qu’une minuscule poussière insignifiante sur la croûte de l’univers, dont la naissance coïncide quasiment avec la disparition. Il n’existe ni moralité, ni bien ni mal, et toute discussion sur l’au-delà n’est que commérage. D’ailleurs, dans un panégyrique, Strauss disait d’un collègue : « Je pense qu’il est mort comme un philosophe, sans crainte ni espoir. » Mais évidemment, l’immense majorité de la population est si incapable de faire face à la vérité qu’elle appartient quasiment à une autre race. Nietzsche l’appelle « le troupeau » ou encore « les esclaves ». Ils ont besoin d’un Dieu père fouettard, de la crainte d’une punition après la vie, et de la fiction du bien et du mal. Sans ces illusions, ils deviendraient fous et se révolteraient, ce qui empêcherait toute forme d’ordre social. Puisque la nature humaine est ainsi faite et ne changera jamais, selon Strauss, ce sera toujours comme ça.
Voilà le miracle du feu sacré documenté depuis le IV siècle sur le Saint sépulcre or il n’y avait pas d’électricité à cette époque. Des scientifiques de bonne foi ont prouvé que le feu sacré n’était pas un truquage du patriarche.
Conclusion : Léo Strauss est un con doublé d’un salopard, un vrai démon