@Gatinais33
R à l’origine c’est le fait que l’université de Sherbrooke avait des données qui m’intéressaient et ils travaillent avec R.
Je me suis intéressé à R car parfois avec un tableur ça coince.
Je l’emploie pour des corrélations à plusieurs paramètres et en textométrie qui sont à l’opposé techniquement parlant. Il me sert aussi pour alimenter QGIS un logiciel SIG.
Il doit avoir 1300 extensions ou paquets ce qui fait que l’on trouve son bonheur.
Il se trouve que j’ai toujours adoré apprendre et que je suis à la retraite, les journées pluvieuses ça occupe agréablement.
Il arrive de temps en temps que j’ai un mail avec un problème vibratoire chiant, n’ayant plus les outils je récupère les données brutes. J’ai toujours eu facile a visualiser les actions/réactions, raideurs, amortissements, propagations, échanges thermiques, ect..
La cause, je trouvais, l’explication c’était plus dur pourtant j’étais sur place et la modélisation encore plus dur.
Maintenant je renvois un fichier R qui permet de voir un peu ce que je vois, dès qu’il y a plus de 3-4 paramètres influençant différemment, le tableur est limité.
Chez moi c’est sismique et cyclones, c’est des données brutes, avec R les données sujettes à caution se repèrent plus facilement et il est bon pour l’interpolation.
Le mieux c’est de regarder par vous même c’est un couteau suisse performant avec 1300 lames.
Il demande un peu d’investissement au début comme tout les outils performant, il faut en avoir l’utilité.
La dernière fois que je l’ai employé c’est avec le module RQDA, pour une des universitaires qui sont sous mon toit. C’est surtout la mise en route, l’explication, le boulot et le jugement c’est pour la miss.