Bonjour,

Voilà bien un article qui pose une bonne question ! les commentaires sont comme bien souvent emprunt d’intérêts et de profonde imbécilité. Il y toujours quelque chose à vendre où a détruire.
Je crois que le petit Charles résume bien en une phrase la chose « Notre société est foutue par la bêtise humaine...qui se suicide elle-même »
Fort de beaucoup d’exemples, de personnages la société est engluée autour de personnes existantes, médiatique. (voir dans les commentaires, a leur insu et éventuellement contre leur gré, sur ce sujet)
Votre question est certes une bonne question, mais elle reste trop simpliste en gardant les bases actuelles (urgence, me direz-vous ?) Pour avoir un bon président, faut-il parler de ce que l’on connaît ?
Là j’ai comme un doute .
Alors, une réponse s’impose, il faut du neuf, mais bien que des mouvements émergent timidement et d’ailleurs pour certains nous pourrions soupçonner des subterfuges.
Alors, oui ! que faut -il ? Tout simplement que nous citoyens ayons un but sans concessions possibles. Le futur ne ce fait pas avec du vieux, c’est pour moi une certitude. Le prochain président n’a pas besoin d’être qualifié. Ce n’est pas le rôle d’un président. Pour une simple et unique raison qui revient aux a priori, aux réflexes, au conditionnement. Un bon président doit être un homme non achetable, les négociations diverses et compromis ne sont que des marchés de dupes. Alors il nous faut une personne pour dire « il faut faire cela pour arriver à cela, le but doit être fixe sur quelques sujets de société, d’organisation, faire droit et simple, » Pas d’aléas, d’annexes de contournement, pas besoin de volume, d’encyclopédie, et si tenir .Je pense que vous allez vous dire que je voudrais un dictateur. En quelque sorte,mais avec un contrat clair et net,sans équivoque.
Alors oui la bêtise humaine que dit leptit Charles est bien le problème. Car il s’agit pas qu’ en route , vouloir faire demi-tour, car en fait nous perdrions quelque chose. Il faut avant l’homme qui tienne le pouvoir dans ses mains, un but de société.Après je dirais pour faire moderne ce n’est que du recrutement. Dans tous les cas c’est bien du neuf dans nos esprits et refuser les gens issus de, modelé par. Un beau rêve. Il ne s’agit pas d’attendre l’homme providentiel, au point où nous sommes mais surpasser nos peurs.
Et puis « avec des si on coupe du bois ! »