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Commentaire de bakerstreet

sur Loup, soutien des éleveurs à la présidente du Conseil Départemental de Lozère


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bakerstreet bakerstreet 10 mai 2016 16:06

@ouragan
« A chaque fois que dissuade un éleveur de se pendre. »Vous savez, quand le discours « paysan de la nature », tout à fait démagogique et ne confondant que les imbéciles« , ne passe plus, devant ceux qui sont informés, et refusent de voir le problème par le petit bout de la lorgnette et des intérêts des banques, ne passe plus, en Bretagne par exemple, au sujet des éleveurs porcins, (générateurs de modifications environnementales inouïes) voilà ce qu’on entend : La menace au suicide, parfois d’ailleurs totalement bidonné, comme lors de cette tentative d’intoxication, dont même les médias se sont fait prendre. 

Le Télégramme - Economie - Suicide de trois agriculteurs. La terri
Vous me direz, qu’importe, c’est signifiant...D’accord, mais de quoi. Du malaise paysan, évident, ou de la volonté de manipulation.......un vieux truc. Le problème dont vous parlez en tout cas, peut être généralisé à toutes les provinces, dans tous les domaines, sur fond de lobby crispé et de productivisme : Ca et là il y a modification sérieux de paradigme, on ne peut plus faire comme avant : Les riverains protestent contre les épandages de pesticides en gironde, avec la proximité des écoles qui n’est pas prise en compte. Il faut s’adapter à la réalité du terrain, du souci de l’environnement qui n’est pas seulement une préoccupation qu’on peut appeler »bobo", quand elles nous emmerdent, et à une époque où la faune disparaît à toute allure, où les maladies liés à ces pratiques explosent... Auparavant on faisait avec les loups, auparavant on faisait avec les mauvaises herbes. Il existait des pratiques séculaires, rodées, simplement, dont on ne veut plus entendre parler maintenant. Quid de pendre un pulvérisateur , quid un fusil, pour faire disparaître la cause du problème. Quand à l’image que vous avez de moi, qu’importe. j’ai passé ma vie dans les hôpitaux, en tant qu’infirmier, me ramassant ça et là une primo infection, mais tachant de consoler moi aussi au mieux, non pas les petits enfants comme vous, mais les patients. 
Comme quoi on finit toujours par se retrouver, quand on a fait Malville. 

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