@legrind

La phrase est choc et c’est voulu, mais il suffit d’aller sur le site de l’Institut de Formation Politique et de la Bourse Tocqueville pour connaître leurs objectifs et une partie de leurs réseaux.

Pour l’Opus Dei, il faut peut-être un peu savoir qui sont Charles Millon, Beigbeder, Denis Cheyrouze (Boulevard Voltaire, Ménard), Derville, Villiers, Lejeune, etc, pour les reconnaître, parce que les opusiens sont des tenants du secret (même si une liste d’opusiens est officiellement déposée, ainsi que leurs liens avec certaines officines), ce qui n’empêche nullement de les voir venir avec leurs gros sabots, leurs gros réseaux et leurs grosses idées libérales.

Personnellement, c’est d’abord en les écoutant sur le fond que je les sens, ensuite, il ne me faut pas longtemps pour les rattacher à des noms et un réseau identifiés et identifiables.

Quant à Washington, je m’amuse de les citer ainsi, puisqu’ils sont contre le Département d’Etat US, puisque contre l’Etat en général, mais comme tous ces lobbies ont leurs sièges à Washington, je joue là-dessus, l’IFP envoie ses meilleurs cadres directement sur place également, et la petite Eugénie, ingénue, a eu l’idée géniale de poster ses photos sur la toile lorsqu’elle était sur place lors de la dernière fournée toquée de Tocqueville.

Honnêtement, je dénonce en mon nom, je donne beaucoup de détails dans de nombreux articles ici et ailleurs, et ces gens-là sont très procéduriers, rien ne dit d’ailleurs qu’ils ne m’attaque pas un jour sur une petite faille juridique anodine histoire de me déstabiliser, Marion Maréchal Le Pen a tenté de le faire pour atteinte à la vie privée par exemple, mais c’était bien autre chose qui était visée puisque le secret qu’elle entendait préserver était connu de tous et crié sur presque tous les toits par sa mère.
Ce qui les gênait et les gêne toujours, ce sont leurs réseaux que je démonte et dénonce.

Je mets ma vie en jeu, vous n’avez pas l’air de vous en rendre compte, moi, j’en ai conscience.

Je suis une modeste mère de famille qui travaille et élève seule ses enfants dont un est handicapé, lorsqu’on m’attaque en me réclamant des dizaines de milliers d’euros comme ils l’ont fait, cela me mettrait directement aux minimas sociaux.

Et les mêmes ont beau dire, entre un petit salaire et les vrais minima, il y a quand même un monde.