I.G. FARBEN Une partie de cette histoire fascinante et troublante est dévoilée par l’historien G. Edward Griffin :
« Les années précédant la deuxième guerre mondiale virent naître un cartel »international« qui avait son siège central en Allemagne, qui contrôlait l’industrie chimique et pharmaceutique dans le monde entier et auquel 93 pays coopéraient. C »était une force politique et économique puissante dans certaines parties de la Terre. Ce cartel s’appelait I.G. FARBEN. « Les initiales I.G. (Interessengemeinschaft : groupement d’intérêts) signifient simplement qu’il s’agit d’un cartel. (...) Jusqu’à la déclaration de la deuxième guerre mondiale, le groupe I.G. Farben était devenu le konzern industriel le plus important en Europe et l’entreprise de chimie la plus importante du monde. Il faisait partie d’un cartel d’une puissance et d’une grandeur gigantesque, fait unique dans toute l’histoire. »
I.G. Farben avait développé, en 1926, une méthode pour obtenir de l’essence à partir du charbon et conclut donc en 1939 un contrat de licence avec la « STANDARD OIL » (de Rockefeller). Cette dernière donna à I.G. Farben 546.000 de leurs actions ordinaires d’une valeur de plus de 30 millions de $. Deux ans plus tard, I.G.Farben signait le contrat ALIG avec Alcoa-Aluminium. I.G. Farben produisait environ la moitié de l’essence allemande et,plus tard, construisit des raffineries juste à côté des camps de concentration. Les prisonniers furent contraints d’y travailler comme des forçats pendant qu’on produisait dans les raffineries le gaz pour les chambres à gaz. Le groupe I.G. Farben était un des plus importants konzerns contrôlés par les Rothschild et écoulait des sommes d’argent énormes dans l’économie allemande et particulièrement aux futurs SS. Le comité directeur d’I.G.Farben comptait parmis ses membres MAX et PAUL WARBURG (de la Federal Reserve) qui possédaient des grandes banques en Allemagne et aux Etats-Unis. Deux autres membres du conseil d’administration de la « Federal Reserve » et de la « National City Bank », et H.A. METZ de la « Bank of Manhattan ». HERMANN SCHMITZ, président de I.G. Farben faisait partie, en même temps, du comité directeur de la « DEUTSCHE BANK » et de la « BANQUE POUR LE REGLEMENT INTERNATIONAL DES COMPTES. »
Les frères Averell et Roland HARRIMAN (initiés en 1917 à Skull & Bones) contribuèrent fortement à financer, par l’UNION BANK, les nazis. De même, les filiales d’ ITT et de General Electric soutinrent directement les SS du Reich. James Martin, chef du service des affaires concernant la guerre économique au ministère de la Justice, fit des recherches sur l’organisation concernant l’industrie nazie et a rapporté les faits suivants dans « All Honorable Men » : « Le principal agent de liaison entre Hitler et les barons argentés de »Wall Street« fut HJALMAR HORACE GREELY SCHACHT, président de la banque du Reich, dont la famille était étroitement liée à l’élite des finances internationales. Schacht fut le cerveau du »plan Young« (plan de reconstruction par l’intermédiaire de l’agent Morgan Owen Young) et aussi de la »Banque pour le règlement international des comptes". Le plan conçu par Schacht fonctionna à la perfection et contribua à rendre explosifs les événements dans la république de Weimar. DR FRITZ THYSSEN, l’industriel allemand, expliqua qu’il ne s’était tourné vers le parti nazi que lorsqu’il dut constater que pour empêcher l’effondrement total de l’Allemagne, il fallait lutter contre le plan Young. (...)
L’acceptation du plan Young et de ses principes financiers accentua de plus en plus le chômage, on compta bientôt un million de chômeurs.« Voilà un sol fertile que la »SOCIETE THULE« n’avait plus qu’à utiliser en se servant de l’outil dont elle disposait en la personne d’Adolf Hitler. Après le Krach en 1931, l’industrie allemande frôla la banqueroute. Fritz Thyssen adhéra officiellement au parti nazi et soutint Adolf Hitler. La plus grande part de sa fortune s’écoula à travers la »BANK VOOR HANDEL« qui, à son tour, contrôla »l’ UNION - BANK« . L’ »Union-Bank« était une alliance de Thyssen et Harriman. Jetons un coup d’oeil sur la liste des directeurs : quatre sur huit étaient membres de »SKULL & BONES« et deux étaient des nazis. Harriman finançait, en même temps, les Soviétiques et les nazis par l’intérmédiaire de la »BROWN BROS.HARRIMAN BANK« . Un de ses plus proches collaborateur fut PRESCOTT BUSH, le père de GEORGE BUSH, ex-président des Etats-Unis. Prescott et George Bush sont, tous deux, membres de »SKULL & BONES".
Jusqu’en 1936, plus de 100 firmes américaines furent impliquées dans la construction de la machinerie de guerre allemande. Entre autres la General Motors, Ford, International Harvester et Du Pont. Les investisseurs ne visaient, en tout cas, pas des affaires à court terme puisque le contrat entre ces firmes et le gouvernement allemand stipulait que celles-ci n’avaient pas le droit de sortir un pfennig d’Allemagne. Les profits ne débuteraient que cinq ans plus tard lorsque les Japonais attaqueraient Pearl Harbour entraînant, par ce fait, les Etats-Unis dans la guerre. De toute évidence, tout cela avait déjà été préparé dans les moindres détails. Cependant, seuls les initiés (Illuminati) étaient au courant.
Griffin résume les derniers événements ainsi :
« Les banquiers internationaux et leurs agents sont à l’origine de la situation qui a conduit à la première guerre ; ils en retirèrent un bon butin ; ils financèrent la révolution Russe et obtinrent le contrôle de ce grand pays ; ils manipulèrent les événements dans l’Europe d’après-guerre de façon à »provoquer une situation« (selon les propres mots d’Edward Stanton) qui les amena, financièrement parlant, »au septième ciel« ; ils utilisèrent des fonds américains qui leur permirent d’empocher d’énormes commissions pour »équiper l’industrie allemande d’installations techniques de pointe« et l’amener, ainsi, »largement à la seconde place au rang mondial« . Ces vautours sans scrupule qui détenaient les monopoles ont manipulé et utilisé les Allemands, ils les ont tant et si bien exploités qu’ils auraient mérité leur haine à tout jamais. Pendant qu’ils mettaient sur pied l’industrie allemande tout en luttant dans le même temps contre eux, ils allaient permettre à un homme fort d’entrer sur la scène politique. Celui-ci, à son tour, gagnerait les masses à sa »cause« en leur promettant de les libérer des rapaces financiers internationaux. L’Allemagne des années trente était une bombe à retardement, fabriquée par les banquiers internationaux. elle était dans l’attente d’une personne telle qu’Hitler qui allait entrer en scène et prendre le pouvoir. »
il FAUT AUSSI RELIRE LA VIE DE WALT-DISNEY QUI ETAIT UN SOUTIEN SANS FAILLE DES NAZIS MALHEUREUSEMENT MEME SI ON ADORE SES DESSINS ANIMEES !.
Relire la vie de Walt Disney ....Dans les années noires .... (..Walt Disney
Il fait partie du milieu intellectuel et artistique anglo-saxon conservateur à tendances ésotériques, hostiles à la démocratie libérale, qui fraye avec les fascistes européens dans les années 1920 et 1930 avant de rallier le nationalisme US durant la Seconde guerre mondiale puis le maccarthysme durant la guerre froide.
Mussolini le reçut deux fois en grande pompe ; Hitler et Goebbels organisaient des projections privées de ses films ; les auteurs, journalistes et critiques fascistes l’encensaient systématiquement (Brasillach par exemple)...
03/06 11:40 - baleti
@Shawford il a les capacité a comprendre l’actualité mais il nous cuisine sa en (...)
03/06 02:17 - baleti
@MILLA je crois qu’il y a plus de caniche et d’autruche que de « gogole » (...)
02/06 17:01 - MILLA
I.G. FARBEN Une partie de cette histoire fascinante et troublante est dévoilée par (...)
02/06 16:57 - MILLA
LE REARMEMENT DES NAZIS FINANCE PAR TOUS LES BANQUIERS CAPITALISTES PRO-NAZI ET AMERICAINS par (...)
02/06 16:55 - MILLA
02/06 08:27 - Shawford
@baleti En fait la version compréhensible et en clair sur laquelle Jo.di base ses variations (...)
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