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Accueil du site > Tribune Libre > Guerres et finance juive, selon Hannah Arendt

Guerres et finance juive, selon Hannah Arendt

Comme j’ai pu le montrer par ailleurs, l’un des chefs-d’œuvre du sionisme aura été le livre publié en 1951 par Hannah Arendt : Les Origines du totalitarisme. Il a fondé les manœuvres de réécriture de l’histoire et de fabrication de faux documents qui ont abouti à faire de Staline un monstre (http://crimesdestaline.canalblog.com). Je n’y reviendrai pas ici.

Où je voudrais plutôt montrer en quoi, sur un point essentiel de la géostratégie qui accompagne les impérialismes du XXe siècle et de ce début de XXIe siècle, Theodor Herzl - dont il paraît qu’il peut être perçu comme le père fondateur du sionisme - a été suivi par Hannah Arendt et par un personnage dont il n’est pas exagéré de dire qu’il a maintenant le sang du peuple libyen sur les mains.

Pour Theodor Herzl, qui écrivait en 1896, les deux organismes à mettre en place en vue de l’installation en Palestine d’un État des Juifs - la Society of Jews et la Jewish Company - devaient s’adresser à l’Empire britannique… Ce qui annonçait que la nouvelle patrie des Juifs allait être un relais stratégique pour la City de Londres.

Pour sa part, si elle n’aimait pas Staline, Hannah Arendt vouait une véritable passion rétrospective à l’un des principaux instruments politiques de la reine Victoria : Benjamin Disraeli, qui, comme son nom l’indique avec une certaine force, était effectivement un coreligionnaire de notre dévoreuse de bolcheviks…

Or, grâce à Hannah Arendt, nous pouvons goûter à l’ambiance qui régnait en Europe dans un intervalle de la carrière de ce "grand homme" qui avait été Premier ministre en 1868 et qui le serait à nouveau de 1874 à 1880. Nous sommes toujours à l’époque où Napoléon III allait s’aviser de perdre l’Alsace-Lorraine, ce qui nous vaudrait, quelques décennies plus tard, la première guerre mondiale. Hannah Arendt qui s’y connaît, paraît-il, nous montre le changement qui vient d’intervenir chez ses coreligionnaires les plus riches :
« N’étant plus banquiers d’État ni fournisseurs (la dernière guerre financée par un Juif fut la guerre austro-prussienne de 1866, au cours de laquelle Bleichröder fournit à Bismarck les crédits refusés par le Parlement prussien), les Juifs devinrent conseillers financiers et jouèrent un rôle dans la conclusion des traités de paix et, de façon moins organisée et plus vague, assurèrent la transmission d’informations. » (Michel J. Cuny, Quand le capital se joue du travail, Éditions Paroles Vives 2012, page 255)

N’accablons personne : mais, circonvenir un Parlement… pour permettre à Bismarck de mettre en marche la déroute de Sadowa qui se continuerait quatre ans plus tard par l’effondrement de Napoléon III, la perte de l’Alsace-Lorraine, avec sa revanche en 1914-1918, etc… voilà qui ouvrait rien que des boulevards pour… la finance internationale, puisque, nous confie madame Arendt :
« Le rôle de Bleichröder dans les négociations entre la France et l’Allemagne, en 1871, dépassait déjà en importance l’aide qu’il avait fournie durant la guerre. » (Idem, page 256)

Avant d’aller plus loin, prenons quelques petites secondes pour consulter la note que notre guide nous fournit si généreusement : en qualité de Françaises et de Français nous pourrons la déguster tout spécialement… puisqu’il y est question des circonstances entourant la mise en œuvre du versement de l’indemnité de guerre de 5 milliards de francs due, par la France humiliée, au tout jeune Reich allemand :
« Selon une anecdote rapportée fidèlement par tous ses biographes, Bismarck dit, immédiatement après la défaite française de 1871 : "Tout d’abord, il faut que Bleichröder aille à Paris, qu’il rencontre ses collègues juifs et qu’il en discute avec les banquiers." » (Idem, page 256)

Reprenons le fil des aventures de Bleichröder là où nous l’avions lâché :
« Ses services furent plus décisifs encore vers la fin des années 1870 lorsque, grâce à ses relations avec les Rothschild, il fournit à Bismarck un moyen indirect de communication avec Benjamin Disraeli [Premier ministre de Grande-Bretagne]. » (Idem, page 256)

Grands Dieux ! Avec Disraeli, nous atteignons la cime des adorations politiques d’une Hannah Arendt et d’un Bernard-Henri Lévy… J’y reviendrai.

Quant à celles et ceux qui croiraient trouver, dans les éléments historiques que je rapporte ici, matière à accabler plus particulièrement les sionistes, ou plus largement, les Juifs, je signalerai que le même procès peut être fait à… Voltaire. Ce que je montre ici : http://voltairecriminel.canalblog.com

 


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48 réactions à cet article    


  • Jo.Di Jo.Di 30 mai 2016 16:53

     
    L’article est bien mais devrait être plus détaillé
     
    Mais bon, le juifs dans la géopolitique .... ça date de Cromwell au moins !
     
    Avant ils se contentaient de suivre les armées romaines pour avoir des esclaves ... slaves ... Puis ils ont progressé, Aaron Lopez était le plus grand négrier de New-Port (c’est pour ça que dans Case départ le juif sympathise avec les esclaves .... c’est con un spectateur bobo de gôôôche !)
     

    « Madeleine Albright assume la mort de 500000 enfants irakiens ... Daesh le pire ? »
     
     
    (Marie Jana Korbelová est née de parents juifs ... maranes ...)


    • Jo.Di Jo.Di 30 mai 2016 17:03

       
      Mais dépucelée (en philosophie aussi) par le vieux teuton Heidegger (un vicieux shaman ontique pas bobo) elle n’arrive pas à dire que des conneries :
       
      « Là vivaient des masses qui n’avaient pas la moindre notion du sens de la patria, la plus vague idée de responsabilité envers une communauté partagée par tous et nettement délimitée. C’était le problème de la « ceinture de population mêlées », de la Baltique à l’Adriatique. Le nationalisme tribal naquit de ce climat de déracinement. » 
       
      « Le racisme ne s’interprète nullement comme une pathologie du nationalisme, mais au contraire comme une idéologie ayant pour but de fournir un « ersatz de nation » à une époque où s’annonce déjà la crise ou le déclin de l’Etat national. Le racisme fournit la base idéologique la plus adaptée pour faire tenir ensemble une masse déracinée d’individus atomisés, privés de liens sociaux par la désagrégation des structures organiques et des solidarités traditionnelles induite par la modernité. C’est cette masse déracinée qui va fournir le terreau des totalitarismes, avec leur volonté de « mobilisation totale », d’arrêt de l’histoire et de création d’un « homme nouveau » L’impérialisme va alors de pair avec le racisme. »  ’L’Impérialisme’ Hannah Arendt


    • non667 30 mai 2016 18:53

      @Jo.Di
      Mais bon, le juifs dans la géopolitique .... ça date de Cromwell au moins !

      au moins,moins d’abraham en fait ! -4500ans ! voir genèse chapitre XVII dès l’invention du peuple élu !


    • lsga lsga 30 mai 2016 20:35

      @Jo.Di
      Le pgonon des juifs ? tu parles du pognon sionniste qui finance le FN, c’est ça ?


    • baleti baleti 31 mai 2016 02:30

      @lsga
      non, je crois qu’il veut parler du pognon des sioniste qui finance la mondialisation,et toute les forme de chaos de la planète.(faux surtout pas oublier leur complice, nos élu)


    • njama njama 31 mai 2016 08:46

      @Jo.Di

      Cromwell c’est connu à cause du pognon des juifs hollandais rapatriés en UK

      Il avait flairé l’oseille smiley
      Oliver Cromwell (1599-1658).
      La Banque d’Amsterdam est créée en 1609 sous la pression des marchands, et au XVII° siècle c’est le centre de la finance mondiale, la « City » de l’époque, et le début des « billets de monnaie » , monnaie de banque, pour les échanges commerciaux.


    • baleti baleti 1er juin 2016 22:31

      @Felgrand
      la mondialisation, c’est juste les banquiers lol...


    • baleti baleti 31 mai 2016 02:42

      j’avais lu un article sur le financement d’hitler et des nazis

      en gros ils on zigouiller leur compatriote, le but étais de créer la terreur dans la communoter juif d’Europe, pour qu’ils se décident a partir créer l’état d’Israël. a l’époque les juifs d’Europe ne voulais pas quitter leur charentaise européenne , contre des bottes dans un désert lointain .

      j’aimerai retrouver les articles qui parle de cet partie de l’histoire.

      • MILLA (---.---.1.10) 1er juin 2016 18:13

        @baleti



        Bien sûr !

      • Jean Keim Jean Keim 31 mai 2016 08:39

        Quand nous nous exprimons nous devrions nous demander quel est ce nous.


        Quand nous percevons que nous ne sommes que des conventions, je suis francais, je suis juif, je suis marxiste, je suis catholique, je suis Machin..., alors nous nous disons parfois dans un sursaut de lucidité que ce n’est pas moi qui m’exprime, en fait je serine ce que me dictent mes nombreux savoirs, mon identité sociale mais alors que suis-je ? Et là parfois rien ne se présente à l’esprit, c’est le silence.

        Un homme était connu pour sa grande sagesse et un jour se présente à lui un autre homme qui demande à être son disciple, le sage lui demande ce qu’il cherche et l’autre répond qu’il veut découvrir ce qu’il est réellement, le sage lui conseille alors de se retirer et de chercher dans le calme d’une retraite la réponse à sa question.
        Quelques années passent et le disciple revient voir le sage pour se rappeler à son bon souvenir et ce dernier lui demande ce qu’il a trouvé, « rien ! » répondit-il, « tu l’as dit ! » conclut le sage.


        • Jo.Di Jo.Di 31 mai 2016 10:06

          @Jean Keim
          Vous lisez trop les shaman ....
          Bobo a renoncé à l’Être en bouffant la pomme, par défi (volonté de puissance) et dire merde aux Dieux (sous les conseils de la connaissance serpentiforme) Alors Bobo a été condamné à bosser, mais bosser et lutter est SA création.
          A l’image de dieux il se crée, libre et aliéné. Des esclaves en passant par l’âne à la Porsche, il n’y a pas d’Être du transport humain immanent.
          Aussi bobo crée sa vision de la Nature et par là de lui-même. Il imagine être un chevalier, un soldat de Napoléon, où des troupes de choc du Kaiser. Tout ça n’est que Lutte et Travail et Idée.
           
          A la fin il imagine le Cyborg, et pour assurer la souffrance rituelle du passage, il implante son cerveau dans La Machine à vif. Homo n’est pas charitable avec lui même.
           
          « Comme disait Kant, la charité n’est qu’instinct libidineux animal, de la flatterie d’ego pour la grande bobo Chanel qui jette cacahuètes et biberons aux lâches migrants, babillant et tortillant du cul devant les caméras. » Cyborg anonyme


        • Shawford 31 mai 2016 10:12

          @Jo.Di

          Un cyborg anonyme qui veaute FN, quand même, merde !!

          A ce sujet, tu m’honorerais d’une réponse par là, merci d’avance smiley


        • Jean Keim Jean Keim 31 mai 2016 11:48

          @Jo.Di


          Un shaman se pense chaman ou est reconnu comme tel par les autres.

          Au début votre commentaire était plutôt pas mal, en fait vous écrivez autrement ce que j’ai tenté d’exprimer et puis ensuite vous faites du Jo.Di, il y un sacré bazar dans votre tête, un peu comme une table de billard où tout le monde jouerait en même temps.

        • Shawford 31 mai 2016 11:57

          @Jean Keim

          Jo.Di/papa Guru c’est le rêve de Bhrama incarné sur AV : il fait sa Maya (d’autres diraient sa Villi) et on b(h)rame tous à l’unisson devant sa majesté dépecée  smiley smiley


        • Jo.Di Jo.Di 31 mai 2016 14:08

          @Shawford

          Sur tes illusions sur la famille réponse déviée en fin d’article (PC à 30€ et Lubuntu => rame, on est du coté obscur où on l’est pas .... à mon avis faut mieux discuter chez Kant, y a moins de monde que chez MLP
           
          « Comme disait Kant, la charité n’est qu’instinct libidineux animal, de la flatterie d’ego pour la grande bobo Chanel qui jette cacahuètes et biberons aux lâches migrants, babillant et tortillant du cul devant les caméras. » Cyborg anonyme


        • Jo.Di Jo.Di 31 mai 2016 15:13

          @Shawford
           
          Le rêve de Brahma c’est une belle vieille allégorie du shamanique ontique... (plus facile à comprendre que le néant néantise, le monde monde)
           
          Mais c’est donc aux antipodes du Kurtzweil qui transforme toute la matière de l’univers en IA ordinateur quantique ... C’est juste un bon coup de mescaline hallucinatoire ... pour retrouver l’Être profond qq part mais qu’on voit seulement .... sur fond de néant .... quand il est pas là où quand on dort dans une barque et qu’on pense à rien ... (moins de risque pour le décrire)
           
          Après avoir guillotiné le brahmane, le Cyborg invente un drapeau bien décoré pour le défendre ; un honneur avec (dis moi ton honneur je te dirais ton temps), une gloire donc, pour avoir reconnaissance des Autres dans SON imaginaire. Il ne cherche pas un « idéal donné », un innétisme, le Cyborg est faire, non lire, pour soi, pas en soi,
           
          Alors quand le Cyborg entend le mot « Être » il sort son graser.

           
          « Un lotocrasse ne peut pas comprendre pourquoi, pour l’hoplite où le germain, il fallait impérativement prier les dieux avant de voter .... Alors il s’étonne que sa crassie n’est pas de fondation.. » Pythie anonyme


        • Shawford 31 mai 2016 15:39

          @Jo.Di

          Bah Bhrama, c’était juste pour l’allégorie rigolote en écho des conclusions façon billard de Jean Keim + haut. Pour le reste :

          « Le grec antique n’avait pas la foi où la science, il avait la certitude et l’émerveillement, c’est ce qui fait de lui un enfant envié ... et un cyborgien converti de faire fi de toute descendance » Le Yéti de Chouardland revisité par bibi smiley smiley smiley


        • baleti baleti 2 juin 2016 00:05

          @Jean Keim
          « le nous »,le patriotisme d’on tu parle est la forme animal de l’être humain,(troupeau)seulement quand ses motivations d’existence sont le besoin de dominer ou bouffer les autre..

          esque le faite de chercher a savoir, qui tu est, n’est pas une facon inconsciente de vouloir te situer plus ou moin haut dans la hiérarchie social, que la place que tu occupe ?
          donc pourquoi ce besoin de se positionner plus ou moin « haut » par rapport au autres ?
          je pence qu’une personne humble, ne se pose pas la question de qui il est.

          Si on admet qu’une quantité « excessive » d’intelligence nourrit une quantité excessive de question, cette intelligence disloque les réponse au question, en de nouvelle question, et ainsi de suite, jusqu’a se que tu as t’aperçoive qu’il ni a pas de fin au question. Au lieu de chercher des réponses, faux se demander pourquoi se poser ses questions.
          persister a se poser ses question, n’est t’il pas une forme d’orgueil a défier l’inconnue ?

        • baleti baleti 2 juin 2016 01:40

          @Jo.Di
          je préfère ta définition du racisme, que celle des shaman

          Ne pense tu pas qu’un bon philosophe est plutôt celui qui apporte des réponses simple a des question complique, que le contraire.
          Tous sa pour éviter le hors sujet,qui est une enclume en philo.
          Je pence que ton schéma,,déborde de prétention,qui elle même est l’essence de l’athéisme .
          je te raconterais pas l’histoire de « coco » d’Aubagne,qui se voyait a Hollywood avec les starlettes,et qui a fini tous seul a se léguer dans son village natal.

          T’es tu seulement demander si le Cyborg n’étais pas une parabole,un schéma ?

          En passant, du fond de ton obscurité,si tu essayais de penser a nous autre qui flottons a la surface,et qui aimerais peu être te comprendre.


        • Shawford 2 juin 2016 08:27

          @baleti

          En fait la version compréhensible et en clair sur laquelle Jo.di base ses variations délirantes, cyniques et métaphoriques, elle est remarquablement développée par Ouam2 sous l’article d’alinea.

          En fait tout cela est donc d’ores et déjà assimilé par beaucoup ici et ailleurs, la capacité de réaction adéquate, non clivante et effective, c’est une autre paire de manche.

          Mais comme dit Jo.Di justement tout est idée, et il faut forger celle-ci au moyen d’une Révolution silencieuse et intérieure avant tout autre développement possible.


        • baleti baleti 3 juin 2016 11:40

          @Shawford

          il a les capacité a comprendre l’actualité 
          mais il nous cuisine sa en ratatouille 
          je lui demande seulement de nous servir ses légume frais cuit séparément a la vapeur

        • Sarah 31 mai 2016 10:17

          Suggestions à l’auteur pour ses futurs articles (6e série) :

           

          La femme du sioniste

          Le retour du sioniste

          Qui sont les sionistes ?

          Le petit sioniste illustré

          Les sionistes et le château hanté

          Le sionisme en péril

          Les sionistes en croisière dans le Golfe arabique

          J’ai un neveu sioniste

          Les sionistes en chasse

          Le sionisme dans la littérature bolivienne de 1920 à 1937, Partie I

          Le village sioniste

          Une base secrète sioniste découverte en Antarctique

          Un sioniste en 1839

          Parti du Mont-du-Temple, un groupe de militants sioniste atteint le Pôle nord en traineaux à chiens


          • Sarah 31 mai 2016 10:32

            @ tous les lecteurs

             

            Les deux premières liste de suggestions a été publiée ici

             

            Une troisième

             

            La quatrième


             La quatrième


            La cinquième


          • Jo.Di Jo.Di 31 mai 2016 14:19

            @Sarah
             
            C’est combien déjà le nombre (97 ?) de malédictions envoyées par Yahvé aux élus qui ont cru au bouquin d’un pithécanthrope ?
             
             
            Le top en SF c’est quand même Germania de Ron Chaya
             
             
            A ÉCOUTER IMPÉRATIVEMENT PAR LES AMATEURS DE JACK VANCE !
             

             
            Après faut pas vous étonnez de trouver aussi tarés en face ....
             


          • baleti baleti 2 juin 2016 01:53

            @Jo.Di
            tu manque pas de culot, a parler de tarés

            je suis sur que tu peux te gratter le dos avec ta langue


          • njama njama 31 mai 2016 11:27

            « Benjamin Disraeli, qui, comme son nom l’indique avec une certaine force, était effectivement un coreligionnaire de notre dévoreuse de bolcheviks… »

            Coreligionnaire ?
            la judéité n’est pas le judaïsme, et n’est pas plus une religion que l’arabité en est une.
            Wikipédia dit :
            « Né à Londres dans une famille juive, Benjamin Disraeli est élevé dans la foi anglicane car son père est en conflit avec sa synagogue. »

            Theodor Herzl est juif athée il me semble


            • njama njama 31 mai 2016 11:42

              Hannah Arendt, si juive croyante ou non, peu importe, car elle semble avoir écarté la religion du domaine de ses réflexions politiques. On pourra donc supposer qu’elle ne parle pas de telle ou telle personne en tant que, ou les considérant, « coreligionnaire ».
              ...

              Religion, politique et sécularisation dans la pensée de Hannah Arendt : le totalitarisme est-il une « religion séculière » ? (Réflexions autour du débat Arendt-Voegelin de 1953)

              citation :
              "Certes, il convient de souligner d’emblée le fait qu’Arendt a très peu écrit sur la religion en tant que telle — et pour cause. En tant que penseur politique, Arendt s’est efforcée, en effet, de délimiter un domaine pur du politique, afin de le mettre à l’abri des empiètements et des confusions avec d’autres sphères de la vie et de l’activité humaines. Or, précisément, la religion constituerait un domaine parfaitement étranger au politique. Arendt a pris bien soin, tout au long de son œuvre, d’écarter les arguments théologiques, ainsi que les arguments qui reposeraient sur le « cœur » ou les sentiments. En ce sens, il était logique qu’elle refusât le mélange des genres auquel semblait se livrer Voegelin dans son analyse du totalitarisme. Néanmoins, Arendt ne méconnaît pas du tout le phénomène religieux. On peut même dire que c’est au nom d’une certaine compréhension de la religion, en tant que domaine spécifique de l’existence et de l’activité humaines, qu’elle refuse d’assimiler le totalitarisme à une « religion séculière ». En ce sens, il nous semble que la réflexion d’Arendt est susceptible de nous apporter un éclairage intéressant sur une question — celle du rapport entre religion et politique — qui semble revenir aujourd’hui sur l’avant-scène de l’histoire."
              lire l’article :
              https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2004-1-page-83.htm


            • gregus (---.---.192.88) 31 mai 2016 12:56

              @keketteEntiere Je peux te l ’expliquer : Est juif une personne nait de mere juive (elle meme juive car ayant une mere juive), et ca peu importe la religion ou la croyance de ce "juif’.


              Ainsi certains penseurs du 19e siècle tels que Marx sont présentes comme juifs bien qu’ayant epouse la foi protestante.

              C est pourquoi l on peut être juif et athée - l un des exemples frappant est la ville de New york ou il y a beaucoup de juifs qui s affichent culturellement dans un certain folklore, revendiquent cette identité juive (comme tout le monde le fait aux usa) mais pour autant ne pratiquent pas du tout la religion juive pour une grande partie.

            • AmonBra QAmonBra 31 mai 2016 14:54

              @gregus

              Je partage l’interrogation de l’entière quéquette, jusqu’à preuve du contraire être juif n’est pas une appartenance ethnique, génétique ou même culturelle car, si c’est le cas, il faudra qu’on m’explique ce qu’ont culturellement en commun un juif du Yémen, de Russie ou d’Angleterre. 

              Être juif est bien une appartenance religieuse qui n’est pas elle même homogène, car différents courants traversent le Judaïsme comme tous les autres monothéisme.

              Ainsi on pourra dire d’un athée qu’il est d’origine juive, comme on dira d’origine chrétienne si c’est le cas,, mais nullement qu’il est juif et si lui même prétend néanmoins l’être, c’est qu’il parle d’appartenance communautaire et non de croyance, on est là dans le conditionnement clanique ou tribal si souvent critiqué, ne serait ce que par sa forte tendance à l’endogamie et que renforce la transmission par la seule mère.

              Par ailleurs et comble de l’ironie, les études génétiques effectuées à grande échelle ont démontré que c’est par l’ADN mitochondrial que se trouve le plus grand apport de gènes non sémites au sein des populations européennes se proclamant juives. 

               


            • baleti baleti 2 juin 2016 02:23

              @gregus

              peu être que garder l’identité juif, c’est aussi pour rester de la communauté des élue 
              faux se dire aussi que se qui est interdit (un péché)dans le judaïsme,le mensonge, l’usure,ect...,ne l’est pas avec les non juif.
              j’ai lu un truc y’a pas longtemps,qui disais que dans la thora, c’était pas de la mère que tu étais juif.je me rappelle pas ou je l’est lu, mais fait des recherches, tu va trouver.
              si tu capte la philosophie du thamud, la compression et l’interprétation de la thora, ne peu qu’être déformer 

              pourquoi les juifs, anti sionisme on ne les vois que sur internet ? 

            • Massada Massada 31 mai 2016 11:46

              Importer illégalement du Viagra, est-ce de la contre bande ?



              • njama njama 31 mai 2016 13:02

                @ Michel-J Cuny
                Grands Dieux ! Avec Disraeli, nous atteignons la cime des adorations politiques d’une Hannah Arendt et d’un Bernard-Henri Lévy

                avant que vous y reveniez ... et de connaître la suite de votre saga, j’ai bien du mal à établir un lien entre Disraeli, et BHL, car contrairement au second, il n’y a rien d’avéré que le premier aurait accrédité l’idée du sionisme.

                Disraeli artisan du sionisme « chrétien » ?

                Schlomo Sand écrit dans « Comment la terre d’Israël fut inventée : De la Terre sainte à la mère patrie » :
                « Si le romancier Disraeli ne propose pas un vrai happy end, Disraeli l’homme politique réussit en fin de compte, dans la réalité historique, à rendre la Grande Bretagne plus »asiatique« - autrement dit : à accroître notablement sa dimension coloniale.
                Disraeli n’est pas devenu sioniste ni, à fortiori, sioniste chrétien. Il appartenait toutefois au même parti que Shaftesbury*, avec qui il a entretenu une relation étroite dès les années 1860. Cependant, l’appui à une restauration juive en Palestine appelée à devenir un foyer chrétien ne faisait pas particulièrement partie de ses préoccupations [63]. Par sa politique, Disraeli a servi, de son mieux et sas déroger, la classe dominante en Grande Bretagne. Mais peut-être, sans l’avoir voulu, a-t-il contribué indirectement à la création des conditions diplomatiques qui, plus tard, mettront l’Angleterre en position d’adopter l’idée sioniste juive »

                https://books.google.fr/books....


                • njama njama 31 mai 2016 13:07


                  « A land without a people for a people without a land » ... "and the Jews ...will probably return in yet greater numbers, and become once more the husbandmen of Judaea and Galilee." 
                  (et les Juifs ... y retourneront probablement encore en grand nombre, et deviendront une fois de plus les fermiers de Judée et de Galilée !)

                   * Anthony Ashley Cooper, 7th Earl of Shaftesbury

                  Religion and Jewish Restorationism

                  Lord Shaftesbury’s « Memorandum to Protestant Monarchs of Europe for the restoration of the Jews to Palestine », published in the Colonial Times, in 1841

                  Shaftesbury was a student of Edward Bickersteth and together they became prominent advocates of Christian Zionism in Britain.[33][34] Shaftesbury was an early proponent of the Restoration of the Jews to the Holy Land, providing the first proposal by a major politician to resettle Jews in Palestine. The conquest of Greater Syria in 1831 by Muhammad Ali of Egypt changed the conditions under which European power politics operated in the Near East. As a consequence of that shift, Shaftesbury was able to help persuade Foreign Minister Palmerston to send a British consul to Jerusalem in 1838. A committed Christian and a loyal Englishman, Shaftesbury argued for a Jewish return because of what he saw as the political and economic advantages to England and because he believed that it was God’s will. In January 1839, Shaftesbury published an article in the Quarterly Review, which although initially commenting on the 1838 Letters on Egypt, Edom and the Holy Land (1838) by Lord Lindsay, provided the first proposal by a major politician to resettle Jews in Palestine :[35][36]
                  >
                  The soil and climate of Palestine are singularly adapted to the growth of produce required for the exigencies of Great Britain ; the finest cotton may be obtained in almost unlimited abundance ; silk and madder are the staple of the country, and olive oil is now, as it ever was, the very fatness of the land. Capital and skill are alone required : the presence of a British officer, and the increased security of property which his presence will confer, may invite them from these islands to the cultivation of Palestine ; and the Jews’, who will betake themselves to agriculture in no other land, having found, in the English consul, a mediator between their people and the Pacha, will probably return in yet greater numbers, and become once more the husbandmen of Judaea and Galilee.  [37]
                  <

                  The lead-up to the Crimean War (1854), like the military expansionism of Muhammad Ali two decades earlier, signalled an opening for realignments in the Near East. In July 1853, Shaftesbury wrote to Prime Minister Aberdeen that Greater Syria was “a country without a nation” in need of “a nation without a country... Is there such a thing ? To be sure there is, the ancient and rightful lords of the soil, the Jews !" In his diary that year he wrote “these vast and fertile regions will soon be without a ruler, without a known and acknowledged power to claim dominion. The territory must be assigned to some one or other... There is a country without a nation ; and God now in his wisdom and mercy, directs us to a nation without a country.« [38][39] This is commonly cited as an early use of the phrase,  »A land without a people for a people without a land" by which Shaftesbury was echoing another British proponent of the restoration of the Jews to Israel, (Dr Alexander Keith.)
                  Bust of Anthony Ashley-Cooper, by F. Winter, 1886. In the collection of Dorset County museum, Dorchester.

                  Shaftesbury was President of the British and Foreign Bible Society (BFBS) from 1851 until his death in 1885. He wrote, of the Bible Society, « Of all Societies this is nearest to my heart... Bible Society has always been a watchword in our house. » He was also president of the Evangelical Alliance for some time.[2]


                • karim 31 mai 2016 13:36

                  Toujours le Juif et l’Argent . C’est un problème avec lequel il faut en finir en nationalisant les banques. Le monde sera meilleur.


                  • Neymare Neymare 31 mai 2016 15:25

                    @Jean Keim

                    « Quand nous percevons que nous ne sommes que des conventions, je suis francais, je suis juif, je suis marxiste, je suis catholique, je suis Machin..., alors nous nous disons parfois dans un sursaut de lucidité que ce n’est pas moi qui m’exprime, en fait je serine ce que me dictent mes nombreux savoirs, mon identité sociale mais alors que suis-je ? Et là parfois rien ne se présente à l’esprit, c’est le silence »

                    Réflexion très juste. Le spectateur (du moins sa pensée) se prend pour le spectacle qu’Il regarde. Il agrège à son ego sa nationalité, sa religion, son status social, son équipe de foot, sa voiture etc...Celui qui observe n’est rien de tout cela, il n’a pas de caractéristique, pas d’attribut, Il n’est personne, c’est pour cette raison qu’Il peut etre tout


                    • non667 31 mai 2016 15:25

                      le débat antisémitisme/ antisionisme est une embrouille juive en direction des goyim

                      elle montre aussi qu’empêtré dans leurs religion que même certains juifs ne savent pas ce qu’est le judaïsme ,n’admettent pas l’impression qu’ils font sur les autres non juifs (shoa =gentilles victimes innocentes = elles peuvent tout se permettre ! )  !

                      alors les non juifs= goïm ) que savent -ils du judaïsme  ??? rien  !

                        donc pour les goyim ,pour eux en bref :
                       le fondement du judaïsme démarre au CHAPITRE XVII de la genèse  qui établi une relation EXCLUSIVE  entre dieu et LA DESCENDANCE  d’ABRAHAM (l’épisode d’ismaël est révélateur à ce sujet )
                      c’est donc une religion singulière :ethnique (raciale au sens le plus étroit du terme !) mais aussi une « race » droit du sang (par la mère pour être plus sûr ) mais aussi une politique communautaire, une famille un clan,une maffia,une camora !.
                      que les chrétiens et les musulmans,prône l’universalisme , contestent l’exclusivité (élection :peuple élu par dieu !) ne change rien au fait que pour les juifs ce soit ça ! s’ils là nient ils s’excluent de facto de l’alliance fondamentale  ORIGINELLE ET ÉTERNELLE .

                      dieu leur à promit d’en faire un peuple supérieur ,un peuple de rois !

                      -pour ce faire il ne faut pas rester entre juifs car forcément il y aurait des juifs rois et des frères esclaves d’où la DIASPORA (dictée par dieu : 400ans d’exil  ! ) (et actuellement quelques bombes atomiques suffiraient pour résoudre définitivement l’éternel problème juif ! )

                      - bien que le judaïsme soit une déclaration de guerre au reste du monde (goïm )il ne s’agit pas non plus pour eux de conquérir les autres peuples par la force à 1 contre 1000 on ne peut s’imposer durablement ! (des siècles )

                      - la solution/tactique est donc de s’introduire dans les autres peuples ,d’y vivre caché comme des COUCOUS , comme des CANCERS, leurs intérêts communautaires passant avant .celui des pays d’accueil même si celui -ci doit en mourir , ils sont toujours prêt à le quitter (or ,diamant.... ,relais ) !

                      -le sionisme : nécessité pour les juifs d’avoir une terre
                       1° - base de repli en cas de « shoa » et en cas de poursuites judiciaires,fiscale ..etc..
                       2°- base de .état -major de la politique mondiale juive .
                       - rappel religieux de la solidarité ( alya ) communautaire qui aurait tendance à s’estomper/se dissoudre avec la paix et la tolérance dans le monde , d’ou rappel appuyé a la shoa , au rn +lhlpsdnh (un petit coup de 9-11 ,un petit coup de carpentras , un petit coup de faux attentats , déformation de propos pour les rendre « antisémites » « négationnistes »  « exterminationnisme » ( almaïnejad ) ....etc ..
                       

                      mais voilà tant va la cruche à l’eau qu’a la fin elle se casse , et à force de trop en faire (palestine ) et avec la crise , le complot QUADRI- MILLÉNAIRE INTRINSÈQUE au judaïsme risque d’être découvert , surtout qu’avec internet la chape de plomb installée par les merdias à leur ordres va se fissurer . et la riposte venir .


                      • Norbert 31 mai 2016 15:36

                        Je découvre (je ne l’ai pas beaucoup lu) que Cunny n’est qu’un brin rouge et beaucoup brun. BHL qui est un authentique minable (et considéré comme tel par la classe dirigeante) se réjouit de se trouver haussé à ce niveau d’importance. Il a absolument besoin des antisémites pour exister et les antisémites de lui.


                        • MILLA (---.---.1.10) 1er juin 2016 18:16

                           La famille Rothschild est « l’une des familles invisibles dans le gouvernement » et la plus ancienne et la plus grande famille de Khazars juifs, qui possèdent les principales banques du monde et la Banque Fédérale aux États-Unis.



                           

                          Le groupe de banques Rothschild a joué un rôle essentiel dans le financement des deux guerres mondiales, ainsi que dans le financement de l’Allemagne nazie et de l’Holocauste pendant la Deuxième Guerre mondiale.

                           

                          Rothschild détient 80% de la richesse mondiale et est responsable de toutes les crises économiques, ainsi que des crises politiques dans le monde entier.

                           

                          La famille Rothschild a pris la Palestine par l’intermédiaire de la Déclaration Balfour, de manière à ce que la Grande-Bretagne ait été sauvée de la Première Guerre mondiale en contrepartie du don de la Palestine. 

                           

                          Leur contrôle du monde permet les préparations de la construction du Temple pour la venue de leur messie


                          • MILLA (---.---.1.10) 1er juin 2016 18:43
                            Basit Igtet, homme d’affaires zurichois et figure de l’insurrection libyenne de 2011.

                            Basit Igtet l’est est marié à Sara Bronfman, la fille d’Edgar Bronfman, le président du Congrès juif mondial. 

                            • MILLA (---.---.1.10) 1er juin 2016 18:53

                              Le terrorisme au service du cartel judéo_maçonnique

                              • Milla (---.---.1.10) 1er juin 2016 21:37
                                @Sarah
                                En tous cas tu fais quand même de la pub pour ses articles. Normal pour une sioniste vu que l’antisémitisme est l’arme préférée des Juifs sionistes...


                                On parle aujourd’hui du sionisme comme responsable du chaos du monde arabe et instigateur de nombreux conflits à travers le monde. Mais tout va rentrer dans l’ordre et sera oublié : nos services secrets, le Mossad et la CIA organiseront encore de nouveaux attentats un peu partout en Europe et surtout en France et des millions de gogoles vont encore tomber dans le panneau et croire en la version sioniste. Tous ceux qui critiquent le sionisme actuellement vont soutenir nos élites et oppresseurs sionistes qui à travers les attentats auront réussi à faire croire à l’opinion publique que le seul ennemi est l’arabe musulman. Donc la loi travail, l’oppression de nos dirigeants sionistes....tout sera oublié !
                                Le peuple entier soutiendra ses élites sionistes pour se liguer contre les arabes, un peu comme le 11 janvier où des millions de gens défilaient derrière le sanguinaire Netanyahou. Le crétin de peuple même miséreux ira se remettre du côté de ses oppresseurs.



                                Bientôt tout le monde sera du côté d’Israël, c’est le but des attentats. 



                                • baleti baleti 2 juin 2016 03:32

                                  @Milla
                                  tous le monde est au courant



                                • MILLA (---.---.1.10) 2 juin 2016 16:55

                                  @baleti

                                  Tu te trompes !


                                • baleti baleti 3 juin 2016 02:17

                                  @MILLA
                                  je crois qu’il y a plus de caniche et d’autruche que de « gogole »

                                  c’est un avis personnelle 
                                  en tous cas, le rappel est nécessaire
                                  ce que je ne comprend pas, on lis un peu de partout sur cette idéologie bancale, mais je n’est jamais rien lu sur les solutions a cette maladie.
                                  quelle en serait les raison ?

                                • Milla (---.---.1.10) 1er juin 2016 22:35

                                  Les merdias appliquent la vieille règle maçonnique du silence médiatique autour de ce document à valeur historique d’Alexandre Soljenitsyne, Deux siècles ensemble, tome I & II, Juifs et Russes pendant la période soviétique, Fayard Paris 2002. Une œuvre documentaire monumentale fondée sur les archives accessibles après la perestroïka. Aucune critique dans la presse quotidienne n’a transpiré, pas plus dans les grands Hebdos, encore moins sur les grandes radios.... et bien sûr RIEN dans les émissions TV (Vol de Fruit, Guillaume Ducond, Yves Calvitie, Serge Moiossi etc.).

                                  On ne demande pas : Pourquoi ? Pourquoi ?? l’ensemble des merdia a-t-il occulté la sortie d’un ouvrage de 1200 pages (Tome I et II) d’un prix Nobel « un vrai de vrai », grande conscience actuelle vivante ?

                                  Le crime de Soljenitsyne est d’aborder la place et le rôle des Juifs russes dans les institutions et le mouvement bolchévique. Sujet hérétique frappé d’interdit ! On y apprend (tome 2 couvrant la période allant de 1917 à 1972) que plus de 50% des organes essentiels au fonctionnement du Bolchevisme naissant étaient composés de Juifs (Comité Central-Commissaires Politiques - NKVD etc.) Or si l’on rapproche ces informations au fait avéré que les Bolcheviques ont assassiné 20 Millions de Russes, cela équivaut presque à 4 Shoah, ce qui d’ailleurs démontre à la fois la cruauté humaine et le fait que les Juifs n’ont pas le monopole de la victimisation ; que le devoir d’histoire vraie devrait aussi s’appliquer aux Russes. Que le livre de Soljénitsyne puisse être boycotté est une forme élaborée et hypocrite de négationnisme et ceux qui liront le livre ont le devoir de la faire connaitre au maximum afin qu’une page de l’histoire ne soit pas passé par pertes et surtout profits.

                                  Déjà en 1921, un Journaliste Anglais du nom de WILTON (correspondant du Time à Moscou) a publié à Paris en 1921 sous le titre : Les derniers jours des Romanoff. « J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour agir en chroniqueur impartial », écrivit Wilton. L’ouvrage de Soljénitsyne « Deux siècles ensemble » est un monument d’érudition ; Fayard a eu grand mérite de le publier.

                                  Autre crime impardonnable : Soljenitsyne tente de montrer que les pogroms sont fomentés par les révolutionnaires (p. 228) et non par des partisans du tsar.

                                  http://www.the-savoisien.com/blog/public/img20/lenculus_mise_a_jour/romanov_family_4. jpg Le massacre de l’ex-tsar Nicolas II fait partie d’un plan secret pour détruire l’ensemble de la famille des Romanov

                                  - Devoir d’histoire ; Il y a 91 ans, l’assassinat de Nicolas II et de la famille impériale russe par des juifs. « En conséquence » conclut Wilton, « il n’y a pas de raison d’être surpris du rôle prépondérant des Juifs dans l’assassinat de la famille impériale. C’est plutôt le contraire qui aurait été surprenant. »

                                  Le rôle des juifs dans la révolution bolchevique et les débuts du régime soviétique Mark Weber Appendice

                                  Un trait frappant dans l’analyse de Mr Wilton de la période tumultueuse 1917-1919 en Russie est son exposé du rôle éminemment important joué par les Juifs dans l’établissement du régime bolchevique.

                                  La liste suivante est la liste des membres du Parti Bolchevique et de l’administration soviétique pendant cette période, que Wilson compila sur la base de rapports officiels et de documents originaux, et cette liste met en évidence le rôle crucial joué par les Juifs dans ces organismes. Ces listes furent d’abord publiées dans l’édition française — difficile à trouver — du livre de Wilton, publié à Paris en 1921 sous le titre : Les derniers jours des Romanoffs. Elles n’apparaissent pas dans les éditions américaine et britannique de The Last Days of the Romanovs, publiées en 1920.

                                  « J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour agir en chroniqueur impartial », écrivit Wilton dans son avant-propos des Derniers jours des Romanoffs. « Dans le but d’éviter toute accusation de porter préjudice, je donne la liste des membres du Comité Central [du Parti Bolchevik], de la Commission Extraordinaire [la Tchéka, ou police secrète] et du Conseil des Commissaires, en activité à l’époque de l’assassinat de la famille impériale.

                                  « Les 62 membres du Comité [Central] étaient composés de cinq Russes, un Ukrainien, six Lettes [Lettons], deux Allemands, un Tchèque, deux Arméniens, trois Géorgiens, un Karaim (une secte juive), et 41 Juifs.

                                  La Commission Extraordinaire [Théka ou Vétchéka] de Moscou était composée de 36 membres, incluant un Allemand, un Polonais, un Arménien, deux Russes, huit Lettons, et 23 Juifs.

                                  Le Conseil des Commissaires du Peuple [le gouvernement soviétique] comptait deux Arméniens, trois Russes, et 17 Juifs. « D’après les informations fournies par la presse soviétique, sur 556 importants fonctionnaires de l’Etat Bolchevique, incluant ceux mentionnés précédemment, en 1918-1919 il y avait : 17 Russes, 2 Ukrainiens, 11 Arméniens, 35 Lettes [Lettons], 15 Allemands, un Hongrois, 10 Géorgiens, 3 Polonais, 3 Finnois, un Tchèque, un Karaim, et 457 Juifs. » « Si le lecteur s’étonne de trouver la main des Juifs partout dans l’affaire de l’assassinat de la famille impériale russe, il doit garder à l ’esprit la formidable prépondérance numérique des Juifs dans l’administration soviétique », continue Wilton.

                                  Le pouvoir gouvernemental réel, poursuit Wilton (p. 136-138 de la même édition) réside dans le Comité Central du Parti Bolchevique. En 1918, raconte-t-il, cet organisme comptait douze membres, dont neuf étaient d’origine juive, et trois étaient Russes. Les neuf Juifs étaient : Bronstein (Trotsky), Apfelbaum (Zinoviev), Lurie (Larine), Uritsky, Volodarski, Rosenfeld (Kamenev), Smidovitch, Sverdlov (Yankel) et Nakhamkes (Steklov). Les trois Russes étaient Ulyanov (Lénine), Krylenko et Lunacharsky.

                                  « Les autres partis socialistes russes avaient une composition similaire », continue Wilton. « Leurs Comités Centraux étaient composés comme suit :

                                  Mencheviks (Sociaux-Démocrates) : Onze membres, juifs en totalité. Communistes du Peuple : six membres, dont cinq étaient juifs et un, russe. Sociaux-Révolutionnaires (aile droite) : quinze membres, dont 13 étaient juifs et deux étaient russes (Kérenski, qui était peut-être d’origine juive, et Tchaïkovski). Sociaux-Révolutionnaires (aile gauche) : douze membres, dont dix étaient juifs et deux, russes. Comité des Anarchistes de Moscou : cinq membres, dont quatre étaient juifs et un, russe. Parti Communiste Polonais : douze membres, juifs en totalité, incluant Sobelson (Radek), Krokhenal (Zagonski), et Schwartz (Goltz).

                                  « Ces partis », commente Wilson, « en apparence opposés aux Bolcheviques, jouaient le jeu des Bolcheviques d’une manière sournoise, plus ou moins, en empêchant les Russes de se rassembler. Sur 61 individus à la tête de ces partis, il y avait 6 Russes et 55 Juifs. Quel que soit le nom qu’on lui donne, le gouvernement révolutionnaire était juif. » [Bien que les Bolcheviks permirent à ces groupes politiques de gauche d’opérer pour un temps sous un strict contrôle et dans des limites étroites, même ces pitoyables résidus d’opposition organisée furent complètement éliminés à la fin de 1921.] Le gouvernement Soviétique, ou « Conseil des Commissaires du Peuple » (également connu sous le nom de « Sovnarkom ») était composé comme suit, dit Wilton :

                                  Suite de l’article plus bas..


                                  • Milla (---.---.1.10) 1er juin 2016 22:38

                                    Commissaires du Peuple (Ministres) Noms Nationalité Président V.I. Ulyanov (Lénine) Russe Affaires Etrangères G.V. Tchitherin Russe Nationalités J. Diougashvili [Staline] Géorgien Agriculture Protian Arménien Conseil Economique Lourié (Larin) Juif Ravitaillement A.G. Schlikhter Juif Armée et Marine L.D. Bronstein (Trotsky) Juif Contrôle d’Etat K.I. Lander Juif Terres d’Etat Kaufmann Juif Travail V. Schmidt Juif Aide Sociale E. Lilina (Knigissen) Juif Education A. Lunacharsky Russe Religion Spitzberg Juif Intérieur Apfelbaum [Radomyslski] (Zinoviev) Juif Hygiène Anvelt Juif Finances I. E. Gukovs [et G. Sokolnikov] Juif Presse Voldarski [Goldstein] Juif Elections M.S. Uritsky Juif Justice I.Z. Shteinberg Juif Réfugiés Fenigstein Juif Réfugiés Savitch (Assistant) Juif Réfugiés Zaslovski (Assistant) Juif

                                    Sur ces 22 membres du « Sovnarkom », résume Wilton, il y avait trois Russes, un Géorgien, un Arménien, et 17 Juifs.

                                    Le Comité Central Exécutif , continue Wilton, était composé des membres suivants :

                                    Y. M. Sverdlov [Solomon] (Président) Juif Avanesov (Secrétaire) Arménien Bruno Letton Breslau Letton [?] Babtchinski Juif N. I. Bukharin Russe Weinberg Juif Gailiss Juif Ganzberg [Ganzburg ] Juif Danichevski Juif Starck Allemand Sachs Juif Scheinmann Juif Erdling Juif Landauer Juif Linder Juif Wolach Tchèque S. Dimanshtein Juif Encukidze Géorgien Ermann Juif A. A. Ioffe Juif Karkhline Juif Knigissen Juif Rosenfeld (Kamenev) Juif Apfelbaum (Zinoviev) Juif N. Krylenko Russe Krassikov Juif Kaprik Juif Kaoul Letton Ulyanov (Lenin) Russe Latsis Juif Lander Juif Lunacharsky Russe Peterson Letton Peters Letton Roudzoutas Juif Rosine Juif Smidovitch Juif Stoutchka Letton Nakhamkes (Steklov) Juif Sosnovski Juif Skrytnik Juif L. Bronstein (Trotsky) Juif Teodorovitch Juif [?] Terian Arménien Uritsky Juif Telechkine Russe Feldmann Juif Fromkin Juif Souriupa Ukrainien Tchavtchévadzé Géorgien Scheikmann Juif Rosental Juif Achkinazi Imeretian [?] Karakhane Karaim Rose Juif Sobelson (Radek) Juif Schlichter Juif Schikolini Juif Chklianski Juif Levine-(Pravdine) Juif

                                    Ainsi, conclut Wilton, sur 61 membres, cinq étaient Russes, six étaient Lettons, un était Allemand, deux étaient Arméniens, un était Tchèque, un était Imeretian (?), deux étaient Géorgiens, un était un Karaïm, un était Ukrainien, et 41 étaient Juifs. La Commission Extraordinaire de Moscou (la Tchéka), la police secrète soviétique, ancêtre du GPU (Guépéou), du NKVD et du KGB, était composée comme suit :

                                    F. Dzerzhinsky (Président) Polonais Y. Peters (Vice-Président) Letton Chklovski Juif Kheifiss Juif Zeistine Juif Razmirovitch Juif Kronberg Juif Khaikina Juif Karlson Letton Schaumann Letton Leontovitch Juif Jacob Goldine Juif Galperstein Juif Kniggisen Juif Katzis Letton Schillenkuss Juif Janson Letton Rivkine Juif Antonof Russe Delafabre Juif Tsitkine Juif Roskirovitch Juif G. Sverdlov (frère du Président du Comité Central Ex.) Juif Biesenski Juif J. Blumkin (assassin du Comte Mirbach) Juif Alexandrovitch (complice de Blumkin) Russe I. Model Juif Routenberg Juif Pines Juif Sachs Juif Daybol Letton Saissoune Arménien Deylkenen Letton Liebert Juif Vogel Allemand Zakiss Letton

                                    Sur ces 36 fonctionnaires de la Tchéka, un était Polonais, un Allemand, un Arménien, deux Russes, huit Lettons, et 23 étaient Juifs. « En conséquence » conclut Wilton, « il n’y a pas de raison d’être surpris du rôle prépondérant des Juifs dans l’assassinat de la famille impériale. C’est plutôt le contraire qui aurait été surprenant. »

                                    Journal of Historical Review 14/1, (Jan/Feb 1994), 4ff. Les notes en bas de page de Mark Weber dans cet article ont été supprimées ; les photos et les descriptions qui les accompagnent n’apparaissent pas dans l’original. Le texte complet de l’article de Weber est disponible sur le site Web de IHR.

                                    http://www.the-savoisien.com/blog/public/img20/lenculus_mise_a_jour/un-dernier-au-revoir_6.jpg


                                    • MILLA (---.---.1.10) 2 juin 2016 16:57

                                      LE REARMEMENT DES NAZIS FINANCE PAR TOUS LES BANQUIERS CAPITALISTES PRO-NAZI ET AMERICAINS par npa aube à 00:14 Précédent Suivant

                                      Le réarmement nazi financé par les banques américaines Le devenir de l’Allemagne était déjà déterminé après le traité de Versailles qui obligeait l’Allemagne à payer des réparations d’un montant de 123 milliards de mark-or et à donner annuellement 26% de la valeur de ses exportations. L’effondrement de la monnaie allemande suite à l’exigence des paiements de réparations était donc prévisible : On allait vers l’inflation chronique ! Dans ce chaos, l’Allemagne demanda un ajournement pour tous les paiements de réparations en argent liquide pour les deux années à venir. Les vainqueurs refusèrent la requête. Ils votèrent le 9 janvier 1923 à trois contre un (l’Angleterre vota « non » sur l’ordre de la « City ») pour déclarer que le Reich allemand était en retard dans ses paiements de réparations. Deux jours plus tard, les troupes françaises et belges occupèrent la Ruhr. Mais les ouvriers allemands en appelèrent à une grève générale dans cette région et l’occupation des Alliés s’avéra être un échec. Les troupes sortirent de cette impasse lorsque l’Allemagne déclara être d’accord pour accepter le compromis connu sous le nom de plan DAWES.

                                      Le « plan Dawes » avait été élaboré par J.P. Morgan,collègue de Rothschild, et devait concéder à l’Allemagne des crédits de 800 millions de $ les quatre premières années. Le « plan Dawes » échoua lorsque les paiements de réparations de l’Allemagne s’accrurent. Il fut remplacé par le « plan Young » (d’après le nom de l’agent de Morgan, Owen Young). Pour mieux dévaliser le pays, les banquiers internationaux créèrent en Suisse la « Banque pour le Réglement International des Comptes ».

                                      Cela faciliterait les paiements de réparations des dettes de la première Guerre mondiale : il suffisait d’effectuer un virement du compte d’un pays sur le compte d’un autre pays dans la mesure où les deux pays avaient un compte dans cette banque. Dans ce cas aussi, les banquiers se rétribuèrent une fois de plus en prélevant des frais et des commissions pour eux.

                                      Le professeur Quigley rapporte : « Il faut noter que ce système (les plans Dawes et Young) fut instauré par les banquiers internationaux et que le prêt d’argent à l’Allemagne leur rapportait très gros. »

                                      C’est une des meilleures démonstrations du système de Machiavel. D’un côté, les banquiers soutinrent tous les partis en conflit et d’un autre, ils prêtèrent aussi de l’argent aux Allemands pour les paiements des réparations.

                                      Quoi que puisse faire l’Allemagne, on savait bien à qui elle s’adresserait pour emprunter de l’argent. C’était exactement le même groupement qui avait programmé la première guerre mondiale, qui l’avait financée, dirigée et qui en avait tiré un large profit.

                                      Mais le jeu alla plus loin. Il fallait réaliser encore de grands projets et poursuivre des buts importants. C’était le tour de la deuxième guerre mondiale !

                                      Les énormes capitaux américains qui furent transférés en Allemagne depuis 1924 sous la couverture du « plan Dawes et du plan Young » constituaient la base sur laquelle Hitler allait construire toute sa machinerie de guerre. Ainsi que l’expose le Dr Anthony C. Sutton dans « Wall Street and the Rise of Hitler » :

                                      "L’apport fourni à l’Allemagne, avant 1940, par le capitalisme américain en vue de préparer la guerre ne peut être qualifié que de phénoménal. Il fut, sans aucun doute, décisif pour la préparation militaire de l’Allemagne. Des preuves permettent de comprendre que le secteur influent de l’économie américaine était, certes, lucide sur la nature du nazisme, prêt à l’aider et à le soutenir financièrement par intérêt personnel, pleinement conscient que cela finirait par une guerre où serait impliqués l’Europe et les Etats-Unis...

                                      « En connaissant les faits, il est impossible de plaider l’ignorance. Les preuves très soigneusement établies qui attestent que les milieux bancaires et industriels américains étaient largement impliqués dans la montée du troisième Reich sont maintenant accessibles au public. On peut trouver dans les comptes rendus et les rapports sur les auditions du gouvernement publiés entre 1928 et 1946 par les différentes commissions du Sénat et du Congrès. Parmi les preuves les plus importantes se trouvent celles fournies par le Sous-Comité du Congrès enquêtant sur la propagande nazie ( »House Subcommitee to investigate Nazi Propanganda« ) en 1934, par le rapport sur les cartels publiés en 1941 par la Commission économique provisoire nationale du Congrès ( » House Temporary National Economic Commitee« ) ainsi que par le Sous-Comité du Sénat pour la mobilisation en 1946 ( »Senate Subcommitee on War Mobilization 1946" ).

                                      Suite de l’article plus bas..


                                      • MILLA (---.---.1.10) 2 juin 2016 17:01

                                        I.G. FARBEN Une partie de cette histoire fascinante et troublante est dévoilée par l’historien G. Edward Griffin :

                                        « Les années précédant la deuxième guerre mondiale virent naître un cartel »international« qui avait son siège central en Allemagne, qui contrôlait l’industrie chimique et pharmaceutique dans le monde entier et auquel 93 pays coopéraient. C »était une force politique et économique puissante dans certaines parties de la Terre. Ce cartel s’appelait I.G. FARBEN. « Les initiales I.G. (Interessengemeinschaft : groupement d’intérêts) signifient simplement qu’il s’agit d’un cartel. (...) Jusqu’à la déclaration de la deuxième guerre mondiale, le groupe I.G. Farben était devenu le konzern industriel le plus important en Europe et l’entreprise de chimie la plus importante du monde. Il faisait partie d’un cartel d’une puissance et d’une grandeur gigantesque, fait unique dans toute l’histoire. »

                                        I.G. Farben avait développé, en 1926, une méthode pour obtenir de l’essence à partir du charbon et conclut donc en 1939 un contrat de licence avec la « STANDARD OIL » (de Rockefeller). Cette dernière donna à I.G. Farben 546.000 de leurs actions ordinaires d’une valeur de plus de 30 millions de $. Deux ans plus tard, I.G.Farben signait le contrat ALIG avec Alcoa-Aluminium. I.G. Farben produisait environ la moitié de l’essence allemande et,plus tard, construisit des raffineries juste à côté des camps de concentration. Les prisonniers furent contraints d’y travailler comme des forçats pendant qu’on produisait dans les raffineries le gaz pour les chambres à gaz. Le groupe I.G. Farben était un des plus importants konzerns contrôlés par les Rothschild et écoulait des sommes d’argent énormes dans l’économie allemande et particulièrement aux futurs SS. Le comité directeur d’I.G.Farben comptait parmis ses membres MAX et PAUL WARBURG (de la Federal Reserve) qui possédaient des grandes banques en Allemagne et aux Etats-Unis. Deux autres membres du conseil d’administration de la « Federal Reserve » et de la « National City Bank », et H.A. METZ de la « Bank of Manhattan ». HERMANN SCHMITZ, président de I.G. Farben faisait partie, en même temps, du comité directeur de la « DEUTSCHE BANK » et de la « BANQUE POUR LE REGLEMENT INTERNATIONAL DES COMPTES. »

                                        Les frères Averell et Roland HARRIMAN (initiés en 1917 à Skull & Bones) contribuèrent fortement à financer, par l’UNION BANK, les nazis. De même, les filiales d’ ITT et de General Electric soutinrent directement les SS du Reich. James Martin, chef du service des affaires concernant la guerre économique au ministère de la Justice, fit des recherches sur l’organisation concernant l’industrie nazie et a rapporté les faits suivants dans « All Honorable Men » : « Le principal agent de liaison entre Hitler et les barons argentés de »Wall Street« fut HJALMAR HORACE GREELY SCHACHT, président de la banque du Reich, dont la famille était étroitement liée à l’élite des finances internationales. Schacht fut le cerveau du »plan Young« (plan de reconstruction par l’intermédiaire de l’agent Morgan Owen Young) et aussi de la »Banque pour le règlement international des comptes". Le plan conçu par Schacht fonctionna à la perfection et contribua à rendre explosifs les événements dans la république de Weimar. DR FRITZ THYSSEN, l’industriel allemand, expliqua qu’il ne s’était tourné vers le parti nazi que lorsqu’il dut constater que pour empêcher l’effondrement total de l’Allemagne, il fallait lutter contre le plan Young. (...)

                                        L’acceptation du plan Young et de ses principes financiers accentua de plus en plus le chômage, on compta bientôt un million de chômeurs.« Voilà un sol fertile que la »SOCIETE THULE« n’avait plus qu’à utiliser en se servant de l’outil dont elle disposait en la personne d’Adolf Hitler. Après le Krach en 1931, l’industrie allemande frôla la banqueroute. Fritz Thyssen adhéra officiellement au parti nazi et soutint Adolf Hitler. La plus grande part de sa fortune s’écoula à travers la »BANK VOOR HANDEL« qui, à son tour, contrôla »l’ UNION - BANK« . L’ »Union-Bank« était une alliance de Thyssen et Harriman. Jetons un coup d’oeil sur la liste des directeurs : quatre sur huit étaient membres de »SKULL & BONES« et deux étaient des nazis. Harriman finançait, en même temps, les Soviétiques et les nazis par l’intérmédiaire de la »BROWN BROS.HARRIMAN BANK« . Un de ses plus proches collaborateur fut PRESCOTT BUSH, le père de GEORGE BUSH, ex-président des Etats-Unis. Prescott et George Bush sont, tous deux, membres de »SKULL & BONES".

                                        Jusqu’en 1936, plus de 100 firmes américaines furent impliquées dans la construction de la machinerie de guerre allemande. Entre autres la General Motors, Ford, International Harvester et Du Pont. Les investisseurs ne visaient, en tout cas, pas des affaires à court terme puisque le contrat entre ces firmes et le gouvernement allemand stipulait que celles-ci n’avaient pas le droit de sortir un pfennig d’Allemagne. Les profits ne débuteraient que cinq ans plus tard lorsque les Japonais attaqueraient Pearl Harbour entraînant, par ce fait, les Etats-Unis dans la guerre. De toute évidence, tout cela avait déjà été préparé dans les moindres détails. Cependant, seuls les initiés (Illuminati) étaient au courant.

                                        Griffin résume les derniers événements ainsi :

                                        « Les banquiers internationaux et leurs agents sont à l’origine de la situation qui a conduit à la première guerre ; ils en retirèrent un bon butin ; ils financèrent la révolution Russe et obtinrent le contrôle de ce grand pays ; ils manipulèrent les événements dans l’Europe d’après-guerre de façon à »provoquer une situation« (selon les propres mots d’Edward Stanton) qui les amena, financièrement parlant, »au septième ciel«  ; ils utilisèrent des fonds américains qui leur permirent d’empocher d’énormes commissions pour »équiper l’industrie allemande d’installations techniques de pointe« et l’amener, ainsi, »largement à la seconde place au rang mondial« . Ces vautours sans scrupule qui détenaient les monopoles ont manipulé et utilisé les Allemands, ils les ont tant et si bien exploités qu’ils auraient mérité leur haine à tout jamais. Pendant qu’ils mettaient sur pied l’industrie allemande tout en luttant dans le même temps contre eux, ils allaient permettre à un homme fort d’entrer sur la scène politique. Celui-ci, à son tour, gagnerait les masses à sa »cause« en leur promettant de les libérer des rapaces financiers internationaux. L’Allemagne des années trente était une bombe à retardement, fabriquée par les banquiers internationaux. elle était dans l’attente d’une personne telle qu’Hitler qui allait entrer en scène et prendre le pouvoir. »

                                        il FAUT AUSSI RELIRE LA VIE DE WALT-DISNEY QUI ETAIT UN SOUTIEN SANS FAILLE DES NAZIS MALHEUREUSEMENT MEME SI ON ADORE SES DESSINS ANIMEES !.

                                        Relire la vie de Walt Disney ....Dans les années noires .... (..Walt Disney

                                        Il fait partie du milieu intellectuel et artistique anglo-saxon conservateur à tendances ésotériques, hostiles à la démocratie libérale, qui fraye avec les fascistes européens dans les années 1920 et 1930 avant de rallier le nationalisme US durant la Seconde guerre mondiale puis le maccarthysme durant la guerre froide.

                                        Mussolini le reçut deux fois en grande pompe ; Hitler et Goebbels organisaient des projections privées de ses films ; les auteurs, journalistes et critiques fascistes l’encensaient systématiquement (Brasillach par exemple)...

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