@Pie 3,14
« Sauf qu’il existe un droit international concernant les réfugiés. »
Les réfugiés, oui... A condition qu’ils soient politiques et non économiques....Et il reste relativement peu de monde.
« Recevoir des réfugiés n’est pas une nouveauté. Ce n’est pas une opinion de ma part, c’est juste une réalité, or il vaut mieux s’adapter à la réalité que la refuser. »
Dans l’intervalle, le monde a changé, les réfugiés aussi. Trois Français sur quatre estiment qu’il y a trop d’étrangers en France (lire : trop d’allogènes), deux sur trois estiment qu’ils ne sont plus chez eux comme avant.
Et si les étrangers d’autrefois étaient plus ou moins rapidement considérés comme Français, parce qu’ils en avaient la tête, les nouveaux venus conserveront des « têtes d’étrangers » pendant des générations. Désormais, même les Antillais et autres ressortissants des DOM-TOM, souffrent de cet « ostracisme ».
Il suffit de se souvenir des discussions provoquées, notamment sur Internet, en 2006, quand Harry Roselmack a été choisi pour présenter le 20 heures de TF1. Plus personne ne se souvenait qu’entre 1958-68, un métis guyanais, Gaston Monnerville, président du Sénat, aurait pu être président de la République par intérim, en toute normalité, un demi-siècle avant Obama, en cas d’empêchement du titulaire.
C’est qu’en quarante ans, la perception du non-Blanc a complètement changé en France et en Europe. Les espiègleries des islamistes n’ont évidement rien arrangé. Et, aujourd’hui, on en est à voir monter un parti politique dont les adhérents et les sympathisants se sentent obligés de scander, sous forme de rappel : « On est chez nous », lors de leurs rassemblements.
Et le plus grave, dans tout cela, c’est que les Français sont divisés, à cause des étrangers, comme ils ne l’avaient plus été depuis la Libération. Je ne pense pas que ça puisse finir bien !