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Commentaire de Atrée

sur Jésus contre Israël, le retour de la revanche


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Atrée (---.---.230.171) 7 juin 2016 15:16

Le Coran reste un mélange peu homogène du Pentateuque Juif et des Évangiles Chrétiens. Se livre « saint » est un plagiat qui part du principe que les grands Prophètes Hébreux étaient Musulmans « Abraham : Ibrahim » L’Ange Gabrielle devient « l’Ange Djibrile ». Bref c’est folklorique. L’Islam comme le Judaïsme paraissent être dépassées, car toujours encrées dans des cultures spécifiques qui clivent et sépare l’Homme sur des différences ethniques. Cette vision d’une entité créatrice omnipotente séparée de la réalité physique est une escroquerie, une personnification humaine du concept transcendent. Le Coran comme la Thorah sont opaque et peu ouvert aux spéculations théologique. Contrairement aux écrits Néo testamentaire et au message du Christ qui nous dit « Mon Royaume n’est pas de se monde » . Lisez le Deutéronome c’est un programme politique, lisez les Hadiths c’est similaire


Enfaîte les enseignements du Christ s’inscrivent dans une continuité par rapport a l’évolution de la pensée hellénique, surtout des philosophes comme Socrate, ou Aristote. On voit d’ailleurs que le Christianisme a su se moderniser par se procédé d’inspiration, la Bible étant pour les Chrétiens « Inspiré par Dieu » , a contrario le Coran étant littéralement de « la main de Dieu » toute évolutions est considérée comme un Blasphème. Comparer le destin des grands théologiens Thomas D’Aquin et Averroés, on voit bien l’opposition de la tradition Islamique et l’ouverture de la pensée Hellénique. l’Islam comme le Judaïsme étant intimement lié au politique il n’existe aucune séparation entre l’Etat et la religion, se qui inclut la mise en place de régimes théocratiques et une culture qui n’assimile pas les influences extérieurs, un monde replié sur lui même, l’inverse de la pensée Chrétienne qui a pu se moderniser car le Politique est séparée du sacré, «  Montrez-moi un denier. De qui porte-t-il l’effigie et l’inscription ? De César, répondirent-ils. 25Alors il leur dit : Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.2  »

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