L’auteur est fondamentalement, un pro-UE. Sa vision de la nation est caricaturale et typique des européiste dogmatiques. Ce simplisme l’oblige à ignorer l’attachement des peuples à leur culture et à leur histoire.
« micro nations antagonistes repliées sur elles-mêmes – ce que souhaitent les partis souverainistes et d’extrêmes droites »
Pour étouffer un projet, donnez-lui une ampleur européenne. La Commission se chargera de l’enterrer.
Sinon les obstacles répertoriés par l’auteur sont réels, de la définition de l’ayant-droit au financement. Il devient indispensable de définir les fondements de cette allocation de base, de se revenu minimum.
Le but premier est de mettre fin à la vraie pauvreté de ceux qui ne peuvent satisfaire aux besoins de base, la nourriture, le logement, les soins de santé, les vêtements..
Le but second, et non pas secondaire, est de mettre fin aux souffrances physiques et psychiques des populations pauvres.
Là est l’urgence absolue. Discuter du sexe des anges, c’est retarder la mise en place d’un revenu de base, sans contreparties iniques, puisqu’elle s’imposeraient à la population la plus fragile. Cette dernière est la principale victime de la mondialisation sauvage, imposée justement par l’UE avec la complicité active de tous les Présidents de la Républiques françaises depuis de Gaule.
Il est temps de prendre des décisions pour notre nation.
Accessoirement : Avez-vous remarqué que personne n’évoque « la communauté des pauvres » contrairement à d’autres (tout et n’importe quoi) qui savent s’organiser pour constituer des groupes de pression efficace et rentable.