@All
Bonjour et merci à tous pour vos apports.
Oui je connais cela. Intellectuel, émotionnel, et le troisième lui en mélange deux : l’istinctif dans la motricité et l’instinctif corporel. J’ai mis du temps à comprendre la démarche de gurdjieff mais elle a du sens pour faire travailler certains egos surdimensionnés. Les instinctifs corporels sont imbus d’eux-mêmes (présidents, PDGs, directeurs de ceci et de cela) et très jaloux des capacités motrices des instinctifs dans la motricités. Ils ont en plus des comportements mécaniques très différents. L’instinctf corporel élabore et donne des réponses complexes, il est assez lent, répond par des rôles de positionnement tout faits, sauf quand il se sent menacé, et là il devient très rapide. L’instinctif dans la motricité répond du tac au tac rapidement et se rend compte plus tard qu’il n’a pas pris le temps de réfléchir. Sa mobilité externe l’empêche d’avoir la sécurité interne. Ils sont faciles à repérer en fait et très différents.
Quelques points les font se ressembler, mais leur origine intérieure est différente :
Il y a des sous-types à ces quatres types ce qui nous donne les douze figures classiques.
Le quatrième homme de Gurdjieff n’est pas un type particulier, c’est n’importe quel homme qui a conscience de son comportement mécanique dans la présence et voit l’enchaînement souffrance/plaisir qui y est associée. C’est une question de changement de plan intérieur (d’octave dans le langage de Gurdjieff).
Le problème de ces classifications est qu’elles ont tendance à renforcer l’analyse et place celui qui s’y attache dans une situation de « sachant » qui se différencie C’est bien évidemment un obstacle à toute libération.
« You don’t need to know to understand ! »
Leur intérêt par contre st d’accélerer la prise de conscience de la mécanicité du comportement dans le sommeil.
Mais leur utilisation en dehors d’un cadre de travail qui permet d’expérimenter et aller au delà de l’idée qu’on se fait de soi-même et des autres a en réalité peu d’intérêt. Les problématqiues fondamentales des êtres humains, avec des formes différentes (et des types différents) sont les mêmes : la personnalité, la souffrance, l’orgueil et la possession, face à notre condition de simples mortels si insignifiants, et la grande séparation profonde qui est ressentie. Cela boucle en cercle perpétuel....
En voulant en sortir, en essayant de l’ignorer, en se justifiant, en le contemplant, par toutes sortes de rôles bien décrits dans l’ennéagramme des personnalités, on le le renforce.
Il s’agit juste en fait de ne pas confondre les points de repère laissés sur le chemin avec la réalité et de retrouver sa simplicité intérieure
Bonne journée.
07/12 16:51 - Zolko
@Ar zen : « vous êtes vous intéressé à la démocratie semi-directe telle qu’elle existe en (...)
07/12 13:52 - Ar zen
@Zolko Merci de votre réponse. Il se trouve qu’un nombre restreint de personnes (...)
07/12 12:41 - Zolko
@ JeanVaillant : merci @Ar zen : « Parce que le terme « démocratie » n’a pas une seule (...)
07/12 11:44 - Ar zen
Vous écrivez : « Et que fait-on de la »démocratie« avec tout ceci ?
07/12 10:44 - JeanVaillant
Bonjour, Pour le coup, j’aurais pu lire encore plusieurs page de cet article. (...)
05/07 10:04 - nicolas_d
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