• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Eddie

sur Conte d'un enfumage pour supprimer les libertés publiques


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Eddie 23 juin 2016 16:52

C’est lorsqu’il est beaucoup trop tard que les gens se réveillent. En effet nous sommes arrivés au stade presque ultime de la destruction du peuple français et de la France, entre autres. Nous n’avons presque plus de travail car presque plus d’industrie. Notre argent a été presque tout donné pour renflouer les banques, sans demander notre avis. La plupart des jeunes et même des moins jeunes n’ont presque plus d’avenir. Le peu d’avantages restants, issus de longues luttes, sont effacés autoritairement sans aucune discussion.Tout cela à cause de la nature lâche et obéissante de l’homme qui fait que par bourrage de crâne médiatique, une large majorité de français élisent continuellement des politiciens traîtres au peuple, vassaux de l’oligarchie financière. Après des décennies de lâcheté et d’absence de minimum de clairvoyance, nous sommes rendus à l’heure fatidique de l’addition et celle-ci est particulièrement douloureuse. Il faut maintenant assumer pleinement le chaos induit par les choix désastreux et prolongés d’au moins 2/3 des français. Pour recouvrer notre libre arbitre, donc virer ou éliminer tous les politiciens, nous devrions formellement passer par la case guerre civile ultra violente. C’est la seule voie qui permettrait une remise à zéro nécessaire à toute saine reconstruction par la mise aux commandes du peuple. Les gentilles manifestations, sous l’ère Sarkozy et maintenant sous Hollande, n’ont inspiré que le mépris des gouvernants.

Le peuple français a seulement récemment bien compris qu’il vivait sous une dictature pilotée par l’Union européenne via nos « élites ». Les garants de la continuité de notre asservissement par nos politiciens dictateurs sont tous les représentants de l’ordre : policiers, CRS, gendarmes…Ce sont des fonctionnaires carriéristes qui n’hésiteraient pas une seconde à mater par la violence extrême toute rébellion populaire. La très grande majorité de ces fonctionnaires défendraient nos dictateurs jusqu’à la fin. Ces fonctionnaires ne sont pas du tout les alliés du peuple. La plupart se battrait jusqu’à la mort pour sauvegarder leur plan de carrière. Ne surtout pas prendre un ennemi, un adversaire potentiel, pour un allié.

Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès