@philippe baron-abrioux
La suite : la presse anglaise a raconté un bon nombre de mensonges et d’idioties, exactement comme les eurokraturistes , les vrais et authentiques euro-fachos - les ayatollahs de l’€kratur ( sans -e et avec un -k, comme Kommandatur ) que vous défendez, sans oublier les mensonges, les oublis volontaires et la propagande active des merdiacrates français.
Je n’en suis pas responsable, et conseille vivement d’autres lectures et des videos accessibles sur ce site et d’autres rédigées et réalisées par des gens aussi compétents que les auteurs que vous citez.
Auteurs que je ne connaissais pas, et dont je lirai les oeuvres au fur et à mesure de mes moyens financiers et à proportion de l’accord d’achat de la bibliothécaire de la Médiathèque.
Etonnant que vous citiez ces gens ( dont la confession ne me dérange nullement, au passage) qui prônent une réforme totale du capitalisme en distinguant entre les entrepreneurs-financiers et les fricnanciers pourris ( exactement mon attitude ), et votre défense d’un système oligarchique uniquement conçu pour les bénéfices personnels des fricnanciers et des mafieux-profiteurs qui font tourner cette démocratie pervertie.
[Etonnant (2) que ces auteurs aient fait préfacer l’ouvrage que vous citez par cette pourriture ambulante qu’est pascal lamy. ]
Deux exemples emblématiques : lesPourris Socialeux Désir et Mosco. Vous pensez vraiment que ces deux parasites sont nécessaires et utiles et honnêtes et productifs , au service des populations européennes ? Si oui, allez consulter d’urgence !
Erasmus survivra d’une manière ou d’une autre.
La confusion ( PADAMALGAM ! vous a-t-on pourtant dit ! ) que vous entretenez entre les Souverainistes et les extrémistes est aussi honnête et juste qu’un discours de Barroso, Juncker, Rumpuy, et autres salopards.
Et c’est pourquoi, malgré votre blabla europhile et surtout humaniste, vous n’êtes qu’un Barroso !
PS : je viens de décider d’employer ce mot comme adjectif (par ex : t’es complètement barroso !« ) ou substantif ( par ex : » cesse de faire le barroso !") ou nom propre ( cf. qqs lignes au-dessus), afin d’exprimer un mépris profond, durable, pérenne, total, voire de la haine.