• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de ouragan

sur Loup, Cap loup récidive persiste et signe


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

ouragan ouragan 29 juin 2016 10:07

@Lonzine et aussi à tous ceux qui m’ont soutenu

EN GUISE DE CONCLUSION :

On peut donc en conclure que pour un article parlant de biodiversité peu de gens intéressés, mais que pour le même article avec le mot LOUP dans le titre et paru quelques jours après, les forcenés du tout sauvage prodiguent des leçons de S.V.T. en faisant comme les plus dérangés d’entre eux l’amalgame entre les abattoirs et les bergers pour justifier la pression mise sur le pastoralisme.

Outre le fait que le pastoralisme rend les exploitations plus économes en moyens, il présente également d’autres avantages : il entretient les paysages, maintien les écosystèmes ouverts et permet de lutter contre les incendies par le débroussaillement animal. Il a un fort intérêt écologique et économique.

Pour l’éleveur, la relation avec ses animaux est primordiale, elle contribue à leur bien-être. Il les assiste au début de leur vie dans des périodes déterminantes comme la mise bas, en veillant jour et nuit pendant cette phase délicate. Puis il les conduit au pâturage en essayant de valoriser la ressource fourragère.

La prédation intervient comme un agent destructeur de cet équilibre que l’éleveur-berger met en œuvre, en quelques minutes et de façon répétée. Tout l’investissement humain, (sélection génétique, perte de lactation, stress compromettant le développement de l’animal, avortements, bien être de l’animal …..) s’en retrouve compromis. L’amour de son métier est mis à mal par la pression des prédateurs mais plus encore par les écologistes sans scrupules qui rendent, par exemple, les bergers responsables de ce qui se passe dans les abattoirs. Ou bien, toujours les mêmes, qui les font passer pour des salauds. Le but étant de les stigmatiser afin de faire passer une idéologie qui n’a rien à voir avec la protection de la nature mais qui met en place la financiarisation de la nature pour mettre à disposition des multinationales des permis de polluer.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès