@Pascal L
Puisqu’il apparaît en effet, Pascal, que "nous n’arriverons
jamais à nous comprendre" j’avais décidé d’arrêter là. Mais je ne peux pas
laisser passer cette énormité censée, selon vous, définir mon "approche
idéologique« : »pour vous, le
mal, c’est la religion que nous devons éradiquer pour que la violence
cesse" !
Depuis que j’ai cessé d’être moi-même chrétien, j’ai néanmoins toujours défendu le christianisme contre
l’obscurantisme des athées sectaires. Tout simplement parce que j’ai
toujours considéré que « le mal » est chez eux beaucoup plus présent
que dans le christianisme même imparfait.
C’est seulement, mais fermement, à cette imperfection que je m’attaque.
Extraits de la dernière page de mon petit essai « Désacraliser LA VIOLENCE religieuse » :
- proposition 4 : Le maintien de la conception criminogène de Dieu,
jadis sacralisée, et celui de la théologie criminogène qui la dogmatise ne sont nullement fatals
Mais il est vrai qu’il y a aussi cette
- proposition 1 : La violence religieuse effective est toujours à la
fois épouvantable et banale puisque
les religions continuent d’enseigner que Dieu la commande ou l’a commandée.
Pour essayer, Pascal, de vous sortir du déni délétère dans lequel
vous vous enfermez, je vais terminer brutalement : CESSEZ DE TRAHIR JÉSUS pour servir les théologiens fous du
catholicisme, lesquels préfèrent la
destruction du christianisme et son remplacement par l’islam plutôt que la
révision de leur spiritualité corrompue par leur goût du pouvoir personnel.