@Bernard Dugué. Alors cela ferait dix ans que Bernard Dugué posséderait les expériences qu’il nous cache, prouvant que son dogme de « conservation de l’information », serait mieux qu’un fantasme, égocentrique.
Fantasme qui ne tient pas une minute devant le théorème de la variété nécessaire, de W.R. Ashby.
Citation, op. cit. P. 159.
Quant
à« information »,
qui est très à la mode, notamment chez Stephen Hawking, ce n’est
hélas qu’un délire égocentrique
et infantile quand
on prétend l’appliquer à la physique.
Aucune loi de la nature n’oblige à aucune « conservation
de l’information », ni
même à une définition de « information ».
Seul un animal, opportuniste
voire prédateur peut donner du sens à « information » :
c’est ce qu’il
peut exploiter pour son profit. Ce n’est pas une notion transportable
d’une espèce à l’autre ni même d’un individu à l’autre :
nous sommes trop divers. Le
chevreuil est un animal très olfactif (le
loup aussi…), course aux
armements oblige depuis plus de 80 millions d’années dans sa
famille. Une information olfactive qui lui sert, elle nous sert à
quoi, à nous animaux diurnes très visuels, et quasi-anosmiques en
comparaison ? Et si ici
j’écris en bleu le mot « rouge », est-ce une information
pour le chevreuil ?
Fin de citation.