Plus le temps passe, plus l’UE apparaît pour ce qu’elle est, l’outil des riches actionnaires des multinationales pour contrôler les marchés et réaliser le maximum de profits.
D’où la mondialisation sauvage à marche forcée et sa conséquence, l’appauvrissement des populations d’Europe de l’Ouest, la mise en faillite des systèmes sociaux, la fragilisation des familles.
Qu’est qu’un chef de l’exécutif ? C’est souvent le résultat d’une intense campagne médiatique favorisant l’émergence de deux partisans de l’UE. Les opposants à l’UE apparaissent largement majoritaire dans ce processus. C’est ce que prétend ce fourbe de Hollande lorsqu’il proclame :
« Le prochain rendez-vous démocratique sur l’Europe aura lieu aux prochaines élections présidentielles. »
Mais les électeurs ne votent pas que pour ou contre l’Europe. Ce n’est pas parce que le candidat noie sa position européenne au milieu de 100 propositions démagogiques que l’élection se résume à cette proposition particulière. C’est pourtant la position officielle.
« Pas besoin de référendum sur ce sujet, puisqu’il sera tranché par les élections présidentielles »
C’est également la défense de Sarkozy sur sa forfaiture, « Je l’avais dis lors du débat avec Royal »
En clair, ils sont bien décider à ne pas demander au peuple de décider de son destin.
La parade ? Voter pour les candidats promettant l’organisation d’un référendum, puisque cette décision, de l’appartenance ou non à l’UE, est ce qui commande tout le reste.