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Commentaire de HELIOS

sur Lorsque Poutine se retire dans le silence


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HELIOS HELIOS 12 juillet 2016 11:19

@chantecler


ce que vous venez d’écrire demande une grosse interprétation.

Si le Zimbabwé peut attaquer son voisin le Botswana (tout cela « par exemple ») sans préavis c’est tout a fait possible.
Mais quand on parle d’ensemble régionaux, voire continentaux... est-ce que vous vous imaginez une seule seconde qu’aucun satellite, aucun renseignement d’origine militaire, économique et même sociaux (mobilisation) ne se voit pas ???

... les chars russes (encore « par exemple ») pourraient rentre en Europe de l’ouest en sortant de leur garage parce que cela fait longtemps qu’ils y sont... mais 10 mn apres une sortie massive, peut etre même avant leur passage de la frontiere, cela se saura.
Alors, me direz vous... on ne fera rien ? certes, on ne fera rien parce que la guerre n’est pas un jeu... il y aura dans ce mêmes 10 minutes des communications diplomatiques intenses et peut etre des actions « déconnectées » par exemple un accident de frontière de l’autre coté de la planète pour indiquer aux « agresseurs » qu’ils ne sont pas complétement libres....

Dans tous les cas, lorsqu’il y a des risques, ce ne sont jamais les plus concernés qui se mouillent.... les choses se passent lâchement par acteurs interposés... comme une agression très limitée de la Bielorussie sur un poste frontiere de Lituanie (oui toujours, par exemple)... évidement condamné par tout le monde.. et qui servira de démonstration signifiant le passage d’une étape à l’autre de la tension et de la liberté des uns a repousser la liberté des autres.... un message clair en fait !
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