« N’est-ce pas dans ce même épisode que la femme est la connaissance sont simultanément condamnés ? »
Il s’agit en fait de la connaissance du bien et du mal, pas de la connaissance scientifique.
Gn 3:2- La femme répondit au serpent : Nous pouvons manger du fruit des arbres du jardin.
Gn 3:3- Mais du fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez pas, vous n’y toucherez pas, sous peine de mort.
Gn 3:4- Le serpent répliqua à la femme : Pas du tout ! Vous ne mourrez pas !
Gn 3:5- Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux, qui connaissent le bien et le mal.
Gn 3:6- La femme vit que l’arbre était bon à manger et séduisant à voir, et qu’il était, cet arbre, désirable pour acquérir le discernement. Elle prit de son fruit et mangea. Elle en donna aussi à son mari, qui était avec elle, et il mangea.
J’adore ce passage, car il a je crois plusieurs sens. L’Homme veut décider seul de ce qui est bon pour lui, et savoir, de lui-même ce qui est bien et mal, par exemple...
Gn 2:21- Alors Yahvé Dieu fit tomber une torpeur sur l’homme, qui s’endormit. Il prit une de ses côtes et referma la chair à sa place.
Gn 2:22- Puis, de la côte qu’il avait tirée de l’homme, Yahvé Dieu façonna une femme et l’amena à l’homme.
Gn 2:23- Alors celui-ci s’écria : Pour le coup, c’est l’os de mes os et la chair de ma chair ! Celle-ci sera appelée femme, car elle fut tirée de l’homme, celle-ci !
Gn 2:24- C’est pourquoi l’homme quitte son père et sa mère et s’attache à sa femme, et ils deviennent une seule chair.
La femme en réalité est un complément de l’Homme, elle ne lui est pas vraiment inférieure, même si elle est créé après.
Bill