« Le contrôle renforce la confiance »
Principe dissymétrique également partagé entre ttes les structures de pouvoir hiérarchisées ou d’individus bénéficiant de moyens dédiés.
Dans la pratique il se formalise par des systèmes de contrôle (écoute, surveillance, analyse, tri,ciblage, reporting, plan d’action, intervention curative et ou préventive) et porte une signification singulière : la confiance répond à des besoins psychologiques s’exprimant sur un mode dichotomique (en soi, aux autres, aumône extérieur), circonstancié, dépendant du contexte et des cadres ou ce sentiment aurait à s’exprimer.
Certains actes , situations ou décisions recourent nullement à ce registre, les automatismes acquis notamment éducatifs, l’expérience pratique (psy, sociaux, techniques) suppléent au recours à cette disposition.
Ce qui parait le mieux définir ce concept réside dans la capacité de l’individu a trouver en lui les ressource lui permettant surmonter ou contourner les obstacles qui seront nécessairement dressés sur son parcours ou ses espérances, pour le briser, l’exploiter, le manipuler.
« la différence entre les pessimistes et les optimistes tient à ce que les premiers sont généralement mieux informés que les seconds »
nb 1 : nos concitoyens, ceux que je cotoie, ont une confiance absolue en la capacité de nuisance de notre classe politique
nb 2 : cette approche gagnerait à explorer, au niveau de la psy individuelle, celle d’assurance (terme ambigu s’il en est)