@jack mandon
Merci Jack. J’aurai sans doute besoin de votre lumière lors de la publication de mon prochain article sur les dimensions humaines la semaine qui vient. En effet, il est une dimension que je ne connais pas du tout, c’est celle de la foi. Comme vous le savez (ou pas), je développe une théorie sur l’homme tridimensionnel, qui est la base, selon moi, des différentes dimensions de l’humain à explorer. J’ai bien avancé et j’en suis à ceci (en plus de ce que j’ai publié - livre et articles 
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Dualité humaine :
1 - L’homme comme être en devenir relève des dimensions causales (contingence) :
Exemples : la peur engendre des mécanismes de défense et développe l’instinct de survie, la conscience engendre l’angoisse.
2 - L’homme comme projet pour lui-même relève des dimensions finalistes :
Exemple : l’angoisse engendre la croyance et la foi que la volonté actionne pour le perfectionnement de l’être.
On voit que l’on est ici dans les dimensions volontaires et libres, contrairement aux dimensions du point 1 (par exemple, on ne décide pas d’avoir peur)
Au total, cette dualité de l’être s’ajoute aux trois dimensions que j’ai déjà dégagées : dimension agissante (désir, volonté, motivation), dimension guidante (valeurs, croyances, foi), dimension confiante (ou reliante). Je n’en ai pas terminé mais c’est probablement ces deux schémas qui vont s’emboîter et me permettre de lister les différentes dimensions humaines et définir quelles sont celles dans lesquelles il est utile et sain de croître et celles dont il est préférable de se soustraire autant que possible. Mais je sors de la dualité être-avoir qui me paraît être une impasse métaphysique car elle engendre de l’affrontement de valeurs en catégories « bonnes » et « mauvaises » (Spinoza n’aimait pas non plus cette catégorisation)
Je sais que ce n’est pas simple mais je me débrouillerai pour éclaircir tout cela. En revanche, sur la foi, n’hésitez pas à venir poster votre commentaire quand l’article sera publié (risque que je dise quelques bêtises ou approximations...)