@jack mandon
La société de l’avoir consommé est ds Baudrillard « la société de consommation » une référence à lire.
C’est surtout la fin du holisme par la fin de « la projection dans l’avenir » qui fait cette modernité. Barbu participe juste au purinement et à l’atomisation en ajoutant à l’individualisme la méfiance.
Dans son bouquin « L’Être contre l’Avoir », Cousin montre très bien (lettre à Vera Zassoulitch) que Marx cherchait la communauté « archaïque » de l’Être, réinventé dans la société moderne et il fait le lien immigration/capitalisme et libéral-libertaire de Michéa. Parle des écolo etc ... (voir sur Kontre Kulture)
Le coté ravages psychologiques de la modernité (féminisation, baisse de la natalité etc ...) Lasch « la culture du narcissisme »
l’ingénierie sociale « marqueting » historique (tournant 19e-20e, les torch of freedom des cigarettiers, les débuts de la pub, etc...), Stuart Owen « la société de l’indécence » (K&K)
Pour l’origine de cette lutte Aristote-Hegel-Marx contre « l’idéologie anglaise » (empirsime, posivisme, libéralisme Bacon, Hobbes, Locke) la série de Cornforth Ed. Delga. Y a aussi le seul bouquin traduit de Preve « Eloge du communautarisme » (de la communauté) Ed Krisis il me semble. En beaucoup plus dur à lire y a la série de Lukacs « La destruction de la raison » (Le Nietzsche est encore abordable)
Clouscard reprend un peu tt ça, son bouquin grand public marrant « le capitalisme de la séduction », et un bouquin général « fascisme et idéologie du désir »