@julius 1ER
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Julius premier du genre vous n’êtes
qu’une banane.
Vous mettez en lien un article
d’Asselineau ce qui est très courageux car vous prenez le risque
d’être fiché par la CIA comme étant un dangereux activiste
complotiste doublé de conspirationniste complètement schizophrène
avec bouffée délirante du genre paranoïde. Vous finiriez si tout
va pour le mieux pour vous à l’asile psychiatrique sinon ce sera un
internement à Guantánamo dans l’île paradisiaque de Cuba du moins
dans sa partie Américaine.
Pour en revenir à notre sujet sur
l’invention des libertés publiques en Angleterre, vous auriez pu
rappeler au sieur Asselineau et pourquoi pas pendant que vous y étiez
à tous ses supporters que la charte des libertés publiques datant
de l’époque où le royaume d’Angleterre était normand existait
quelque chose d’admirable qui lui était antérieur. Hé
oui !!! Et cette chose d’où découle la Magna Carta était tellement ancrée
dans les mœurs que pendant l’inhumation de Guillaume le conquérant
un quidam normand osa arrêter la cérémonie en prétextant qu’on
avait pas payé à son aïeul le terrain sur lequel avait été
construite l’église St Étienne de l’abbaye aux hommes où allait
être enterré le roi d’Angleterre. Il fallut l’indemnisé en donnant raison au quidam pour que la cérémonie pût
continuer. Pût imparfait du subjonctif à ne pas confondre
avec le mot pute qui est hors sujet.
Croyez vous qu’un américain ou même
qu’un français puisse arrêter une cérémonie officielle menée en
grande pompe sous prétexte qu’on bafoue ses droits. Impossible et
portant chez les normands au moyen age, c’était possible. Qui sont
donc les plus civilisés, nous aujourd’hui avec notre charte des
droits de l’homme ou nos ancêtres les normands avec leur cri du
haro.
Comme il pouvait y avoir de l’abus en
criant le haro n’importe quand, on pouvait se retrouver condamné
pour avoir crié un fol haro.