@olivier cabanel

C’est incroyable comme vous faites l’impasse sur la distinction entre réalité et imaginaire ! Vous vonfondez les deux, ce qui rend votre propos totale aberrant.

La réalité physique à ses propres conditions d’existences qui ne peuvent être changés qu’en sortant de la réalité physique. Donc, en entrant dans l’imaginaire. Ici, c’est l’aberration du cerveau humain qui est en cause et lui seul. Ainsi, vous ne répondez a aucunes de mes remarques, comme celle qui montre que le but (du système actuel) est l’exploitation du temps de vie d’autrui a son profit et non la liberté. Que si cette volonté est vrai dans les rapports humains, c’est encore plus vrai pour les machines. Que si l’humanité peut se libérer du travail par les robots, c’est que ces derniers ne le peuvent et ne le doivent pas, car sinon, c’est que l’humain re remplace la machine. Ce qui est aberrant.

Asimov est un écrivain de sf, pas de la réalité.

Quant au revenu de base sans contrepartie, c’est l’idée vendu par les maîtres actuels du système, sachant qu’à terme il s’agira d’éradiquer cette population. En attendent, il s’agit de nourrir son apathie et son indigence intellectuelle par tous les moyens le maintenant dans l’ignorance et l’aberration.

On peut très facilement créer un monde en équilibre relationnel, sauf qu’il y a des conditions strictes à respecter, mais ne comptez pas sur les tenants du système pour vous l’expliquer, mais au contraire pour vous en tenir eloigné.

Lorsque vous dépassez le stade de la nécessité et contrainte, vous entrez dans celui du libre choix, mais cela veut dire que d’autres s’occupent de la nécessité. Enfin, si vous n’etes plus sujet à aucunes contraintes de temps et d’espace, alors cela veut dire que vous n’avez plus de raisons d’être dans la réalité physique, avez atteint l’omniconscience et cessez d’être acteur pour devenir spectateur.

C’est l’enseignement du Bouddha et même de la mythologie grecque.

Ainsi, en créant des humains doués de conscience et de libre arbitre, les Elohims ont dû plonger l’humain dans l’ignorance de leur propre existence et ce, pour pouvoir jouir du spectacle offert par l’humain cherchant à comprendre le monde dans lequel il vit et se faisant, ecrivant une histoire dont l’intérêt réside dans le suspens. Dynamique fractale, un des trois piliers du principe de relation de causalité. L’humain cherchant à comprendre le monde dans lequel il vit, utilise l’itération, second pilier. Quant au fait de reproduire la même chose relève de la récurrence, premier pilier du principe de relation de causalité qui définit la conscience d’être.