... excellente construction intellectuelle dégageant une fumée (nauséabonde) destinée a cacher la manipulation.
Quand un gros problème est difficile, démontons-le et résolvons les petits qui le composent..
La dette d’abord.... voyons... qui sont les créanciers ? vous parlez de l’AFT qui donne 63,1 non residents... mais on s’en fiche qu’ils soient non résidents... ce qui est interressant c’est leur attachement à la structure economique « France » d’une part et de l’emploi qui font de cette creance.
J’aimerai, mais ce n’est pas public, avoir une cartographie REELLE de la dette pour savoir de combien la France est endetté...
Voyons sur un exemple.... j’arrondi... la dette est detenue pour 18% a des assurances. OK... a qui appartiennent ces assurances ? quelle est la part indirecte de la dette des assurances appartenant immediatement ou en cascade a des francais ? ce serait bien interressant de le savoir....
ce serait aussi interressant de savoir quels sont, a coté des français, les autres proprietaires réels de ces mêmes assurances... qui pourraient etre italiens (toujours par exemple).
Et, sachant par ailleurs que l’italie a ses propres dettes vis a vis d’autres structures, comme des banques, envers des français... il faudrait effectuer une balance, une vraie balance, pour determiner au final de combien réellement la France est endettée vis avis de l’etranger.
en simplifiant a l’extreme, imaginons que la France-epicerie doive 100 euros a l’italie-boulangerie, qui elle-même doit 100 euros a l’Espagne-medecin, qui a son tour doit 100 euro a l’epicerie.... de combien la France-epicerie est-elle endettée ????
Le remboursement de la dette ensuite....
Vous parlez toujours du remboursement que nos enfants devraient faire a nos creanciers... Vous oubliez de separer 2 elements fondamentaux :
— Un qui correspond au « service » de la dette, c’est a dire les interets qui sont versés (le loyer de l’argent)...
— L’autre qui est le remboursement du capital emprunté.
... pour le « service de la dette »... Supposons d’abord que la dette exterieure de la France soit vraiment importante... ce qui est loin d’etre une évidence, quel est le montant que la France paye et dont la fiscalisation legitime des preteurs n’en retourne pas l’impot ?
Toujours dans le même exemple, les assurances payent bien des impots sur leurs« revenus financiers » n’est-ce pas ? Comment il n’y a pas d’impots ? ... pas d’impots, pas de dette ! point.
Continuons
.... pour le remboursement du capital.... les chiffres exhorbitant que vous citez supposent... toujours dans le cadre d’une dette importante de la France envers l’exterieur, un remboursement immediat en une seule fois.
Or, vous le savez bien ; une dette peut s’etaler.Cobien nos enfants devraient -il rembourser (si la detet existe evidement) et si la periode s’etalait, par exemple sur 3 ans.. ou 30 ans... ou, pourquoi pas 100 ans ?
Et je ne vous parle pas d’inflation dans tout cela, car evidement, les usuriers n’y ont pas interet... et la BCE veille bien a ce qu’il n’y en ait pas.
La monnaie commune, l’Euro, a rendu le suivi déjà complexe a beaucoup plus difficile. On comprend bien pourquoi l’Euro plait tant a tous ceux qui naviguent dans l’internationalisation des capitaux.
en conclusion, la complexité de la dette est volontaire, parce qu’elle sert d’outil de communication allant toujours dans le même sens.
Nous pourrons nous inquieter le jours où la balance des paiements exterieurs de la France, compte tenu de la dette qui a mon avis est non pas une dette mais un credit sera negative au dela d’un court terme.... et au dela de la valeur des capitaux exterieurs (hors France donc) qu’elle detient
J’attends vos arguments.... qui n’ont aucune valeurs s’ils ne viennent pas avec une cartographie qui existe mais qui est bien enfouie dans les coffres.....