Loin de là, mais pas loin de chez moi, des gens se sont mis à
penser que la meilleure façon de ne plus voir de centrales
nucléaires sur la route des vacances ou celle du quotidien, c’était
encore de ne pas avoir besoin de l’électricité qu’elles
produisent. Alors, ils se sont mis à imaginer de nouvelles façons
d’habiter, de nouvelles façons de construire ou de réhabiliter
des logements à énergie positive où c’est le printemps toute
l’année.
Ben voyons ! C’est si simple ! Pourquoi
n’y a-t-on pas pensé avant ?
Ceux qui veulent remplacer toutes les
habitations anciennes par des maisons en bois, d’une essence qui
résiste aux intempéries (pas le hêtre, si abondant, par exemple),
ont-ils réalisé qu’il faudrait abattre des forêts entières et
consommer beaucoup d’énergie pour le débiter ?
On a un peu, dans l’article,
l’impression que le mépris bourgeois pour les HLM s’étend aussi à
la faune qui y vit ...
Les problèmes de production et d’usage
d’énergie ne se règlent pas avec des « yakas » et des bons
sentiments. C’est une affaire complexe pour équipes
pluridisciplinaires de niveau universitaire.