Et Madame SAUVAGE qui avait le devoir, plus que quiconque de protéger ses enfants qu’a t’elle fait ?
A t’elle mis en sécurité ses enfants, c’était là son premier devoir de mère !
Dans ce que je répugne à nommer « famille » tant les liens d’amour et d’intérêt à l’égard des enfants étaient absents, autant de la part de la mère que de celle du père, il est surprenant que les services sociaux n’aient pas été alertés pour protéger les enfants du couple, afin de combler l’indigence parentale en les retirant de l’enfer de ce foyer.
La violence, les coups, les humiliations subis depuis des années par le fils l’ont détruit, faute d’une écoute extérieure et de soins appropriés à son état psychique et mental dévastés par le climat toxique familial.
Serait-il exagéré de voir en Catherine SAUVAGE une mère indigne qui n’a pas protégé ses enfants ?
Ce père et cette mère auraient mérité tous deux que la justice s’intéresse à eux avant le drame, beaucoup plus tôt. La protection infantile se serait exercée, ils auraient été déchus de leurs droits parentaux, les enfants placés dans une famille aimante...
Au lieu de cela, deux morts !
Comment défaire Madame Sauvage de toute responsabilité envers sa famille, raisonnablement, il est impossible de ne la voir que comme une victime. Elle a forgé et subi son calvaire en entraînant des enfants innocents dans ce drame, le sien, elle est condamnée à juste titre, à hauteur d’un crime passionnel, en cela les juges se sont montrés cléments.
Pour le reste...