@Fergus
Deux choses :
Tuer est une sacrée violence, violence qui ne fait pas partie de son tempérament,( quoiqu’il y ait un « réciproquement » à un moment donné, dans ce que j’ai lu, qui est resté inexpliqué, mais se débattre ou hurler en cas de crises, c’est une réponse évidente sauf à être complétement inerte, ce qu’elle n’était pas) il lui a donc fallu recevoir une sacrée violence, inhabituelle, inédite, pour la faire réagir ainsi.
N’oublie pas qu’il était infidèle, qu’elle lui pardonnait et, de plus, je ne vois pas pourquoi, à part l’intéressée, quelqu’un était sensé être au courant de ce projet.
Le suicide, c’est autre chose, il ne répond pas à une violence reçue, même s’il est lui-même une violence ; le désespoir, au sens fort, suffit.
J’aimerais bien la cuisiner là dessus !! Si quelqu’un le faisait, je suis sûre que ce serait un immense soulagement pour elle.
Bon je suis toujours sûre, jusqu’à information complémentaire ; l’ordonnance du psychisme a des lois et en l’état actuel de mes connaissances sur cette affaire, il n’y a pas d’autre choix.
Tu protèges, tu couvres le mauvais garçon,, tu adoucis, tu atténues, tu fais comme si... et il reste.Toute une vie, tu ne peux que le tuer s’il part ! Si tu pars, c’est moi qui te ferai partir !!!
Il y a aussi que le suicide du fils n’est jamais mentionné, enfin ses causes probables. Peut-être savait-il, lui ! le père, au charisme incontournable, abandonne.
Bon, excuse-moi Fergus, j’ai passé tant de temps dans ma vie à écouter, entendre, démêler les lacs relationnels, que ça devient une seconde nature chez moi !!