@Elliot
Tout-à-fait on connait le poids des conventions dans n’importe quelle société, catholique, musulmane, athée, etc ...
Et donc si en France on a réussi à faire reculer le poids des conventions catholiques ce n’est pas vraiment pour qu’elles reviennent par l’intervention d’une autre religion.
Je n’aime pas les cathos intégristes, je ne vois pas pourquoi je serais plus indulgent avec les muzz intégristes.
La sous-éducation des filles est un fait incontestable dans de nombreux pays musulmans (tous ?), j’espère que vous êtes au courant.
En France il sera difficile de montrer que dans certaines familles la religion prend le pas sur l’éducation scolaire qui est éventuellement est vue comme une menace ; mais pourtant cela existe.
J’en ai vu des cas concrets, et pas seulement pour les filles.
Pour certains garçons un « tuteur /prédicateur » intervient le soir à la maison pour être sûr que l’enfant ne perde pas de vue les priorités religieuses.
Et je n’aime pas trop l’argument suivant : il y a des problèmes dans certaines familles non-musulmanes, donc toutes les dérives musulmanes sont finalement acceptables.
De même l’argument de « l’approbation de l’autorité scolaire » est fallacieux : d’abord il est difficile de prouver les fausses dispenses, ensuite vous connaissez peut-être le poids des accusations d’islamophobie, non ?
Vous « savez » que dans certaines classes il est difficile d’aborder certains sujets (sexualité, histoire des religions) ?