@tf1Groupie
Vous êtes un optimiste forcené, vous ne pensez que l’avancée du temps n’est que meilleure. Pourtant moult exemples devraient vous faire un tant soit peu réfléchir.
Au début du XX éme siécle, à la découverte de la radioactivité, il était du plus à l’avant garde de se tartiner la tronche au radium
Dans les années 70-80, il fallait être un lézard bronzant au max, je reprends un texte :
Dans les années 1980-1990, qui n’a pas rencontré, allongée sur la plage, cette quinqua blonde peroxydée, la coupe à la brosse, la peau marron #8B4513. A côté d’elle, sur sa rabane, traînent nonchalamment un gros pot de graisse à traire et un flacon d’huile de Monoï...
C’était l’époque du bronzage à outrance, celui qui a fait des ravages, aussi bien sur le dancefloor du Macumba
que dans les hôpitaux. Une époque qui semble révolue selon Jean Viard :
« On ne bronze plus comme avant. C’est en général plus léger. Il faut
rester toujours un peu hâlé, car être complètement blanc, ça fait
malsain. Prenez l’exemple des présentateurs à la télé : ils ont toujours
ce petit hâlé ! »
Et depuis quelques années, indice 50 pour tous, les enfants couverts, une régression ? Nous sommes en 2016 bordel, on doit être aussi bruns que des toasts, non ?
Commentaire stupide ? sûrement.
Mais écoutez aussi la voix de la sagesse, qui en a vu d’autres, et qui vous dit que cette polémique est une tempête dans un verre d’eau, parce qu’il en a vu 100 avant vous. Ça vous changera.