@L’Ange Maudis
Ce ton narquois que vous avez est celle du gros beauf ignorant qui se croit drôle alors qu’il est minable.
Mais au fait, L’Ange Maudit dans la mythologie biblique c’est le diable : retournez donc en enfer cela nous fera des vacances.
Pour les autres lecteurs :
Les mythes
s’appuient souvent sur des réalités déformées par la transmission
orale sur plusieurs générations et des constructions
intellectuelles imaginées par les auditeurs pour combler la minceur
des renseignement reçus.
Sur les manuscrits
du Moyen-âge européen, on voit des pyramides égyptiennes
extrêmement pointues et munies de fenêtres. Tout aussi fantaisistes
sont les représentations d’animaux exotiques.
Le mythe du déluge
biblique est vraisemblablement le souvenir plusieurs siècles après
des inondations du Tigre et de l’Euphrate qui serpentent dans une
plaine facile à noyer.
On a longtemps cru
que la guerre de Troie n’avait pas eu lieu, jusqu’à ce qu’on
retrouve ses ruines.
Les conquistadores à
cheval seraient devenus un mythe de demi-dieux s’ils étaient
repartis d’Amérique rapidement.
Durant la guerre du
Pacifique, les Américains offraient de la nourriture à la
population primitive de certaines îles. Comme ils ne fabriquaient
pas ces objets devant eux, les indigènes ont cru qu’ils les
recevaient des dieux du ciel par l’intermédiaire de machines
volantes. C’est pourquoi, après le départ des troupes US, ils
construisirent des semblants de pistes d’atterrissage pour que les
dieux leur apporte, sans intermédiaire, les cadeaux qu’ils avaient
tant apprécié.
Il existe une
« aristocratie » universitaire qui détenant le savoir de
leur temps, qu’elle n’a pas le plus souvent élaboré, le considère
comme LE savoir et exclut avec mépris tous les apports de qui n’est
pas bien « né », comprenons ce qui n’ont pas suivi leur
cursus et ne fait pas partie de leur cercle fermé.
C’est net avec
certains professeurs de médecine (pas tous) dont l’arrogance est
insupportable compte-tenu de ce qu’on ignore sur le corps humain est
qui est bien plus important que ce que l’on en connaît.
Mais c’est vrai
aussi dans d’autres domaines comme la paléoanthropologie,
l’archéologie, sans parler des sciences humaines.
Je ne peux trancher
par ignorance en faveur de M. Mourey, mais j’aimerais qu’en face des
arguments si nourris et structurés qu’il avance, les détenteurs du
pouvoir de « l’information officielle » d’archéologie aient
le fair-play de les combattre un à un avec les mêmes références
que lui.
Ce qui ne manquerait
pas de se produire si sa construction était « friable ».