Madame la sociologue hypocrite de Saint Germain des Prés et de la place des Vosges
Il se trouve que pour moi les femmes musulmanes de sont pas des concepts abstraits de sociologue bourgeoise mais des êtres réels. J’ai grandi avec elles et j’ai assisté à leur malheur sombre, définitif, et sans espoir. Celui d’être d’entrée et pour la vie des êtres de seconde classe.
Vous vous en moquez. C’est vous qui êtes foncièrement raciste : une Arabe doit rester dans son état.
Mais le problème n’est pas là, et vous le savez. Le burkini ne nous donne que de la tristesse pour ces pauvres femmes. Tristesse qui ne touche pas votre coeur de pierre de gaucho. Le problème est l’entreprise salafiste de conquête de l’espace européen.
Et vous le savez, puisque vous embrayez sur le discours gaucho et collabo habituel sur l’esclavage, etc. Bien sûr, vous masquez le fait que les négriers recevaient leur cargaison d’esclaves des mains des rois africains, que les Musulmans avaient pénétré depuis longtemps au cœur de l’Afrique pour chercher des esclaves (Taubira : il ne faut pas le dire pour ne pas perturber les jeunes des cités), que l’esclavage a été aboli officiellement en Mauritanie en 1980, mais qu’il perdure dans ce pays.
Bien entendu, ceux qui essaient encore de sauver ce qui peut l’être de la France, vous les traitez d’extrémistes de droite.
Vous voudriez que dans notre pays chrétien on interdise les religieuses en robe et les prêtres en soutane. Ces religieuses et ces prêtres n’ont pourtant aucun projet d’imposition de la charia à la société et vous le savez très bien, grande hypocrite, alors que les provocations islamistes font partie d’’un projet de domination.
Et vous avez le soutien admiratif du takfiri Tasrin.
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