@Fifi Brind_acier
Je ne me trompe pas. Et je suis 100% d’accord avec vous. Comment est-ce possible ?
Eh bien, vous avez parfaitement raison de préciser que les dictateurs bruxellois imposent aux nations des feuilles de route qui ressemblent de plus en plus à une confiscation des richesses produites au seul profit des banksters. Les sbires bruxellois sont récompensés pour leurs bons et loyaux services (voir Barroso). Et j’ai également raison quand je fais référence au comique de l’Elysée car il ne tient qu’à lui de dire merde à Bruxelles. Dans ce cas, deux possibilités : ou Bruxelles revient à de meilleurs sentiments (ce dont je doute fort) ou il faut sortir de l’Europe (donc de l’euro) et dans la foulée de l’OTAN et de toutes les organisations mondialistes mises au service des banksters. Les Suisses ont fait un pas en arrière vis-à-vis de l’Europe en avril dernier. Le Royaume-Uni a voté clairement en faveur d’une sortie. Et, si on en croit les sondages, environ 60% de Français voudraient en sortir.
Trois problèmes :
1) Il n’y aura vraisemblablement pas de référendum sur ce sujet.
2) Même s’il y en avait un, les médias et compagnie effraieraient les gens avec des « C’est pas possible, on va se retrouver seuls, isolés, et puis vous n’y pensez pas, la dette est en euros aux 2/3, de toute façon, vous êtes trop cons, vous n’y comprenez rien blablabla » omettant de préciser que la dette est fictive en très grande partie et que, eh bien, sans la France, l’UE c’est fini. et entre nous, la Suisse se porte mieux que la France sans Europe et sans euro malgré une industrie plus modeste et une part de services bancaires plus équilibrée qu’en France. Comme quoi, l’Europe c’est un bon gros fantasme.
3) En supposant qu’il y ait un référendum et que les Français votent en faveur d’une sortie, méthode Sarko : l’avis du peuple, on se le met profond dans l’oignon (voir 2007)
Donc nos avis convergent à ceci près que c’est au guignol de l’Elysée de décider d’écouter (ou pas) son peuple, ce qu’il ne fera pas.