Une partie de la population, malheureusement de plus en plus importante,
éduquée et élevée dans la haine de « l’Autre » succombe facilement à ce
discours démagogique.
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Je suppose que vous voulez parler ici d’individus comme Mehra, Nemmouche, les Frères Kouachi, Abdeslam le demeuré, et quelques autres du même acabit dont j’ai déjà oublié les noms. Il y a le connard de Nice, encore, les assassins de ce pauvre vieux curé normand et tant d’autres ; il y en a trop, ça pullule. Comme par hasard, tous se réclament d’Allah. Allah akbar ! Une religions de paix surtout préoccupée, dit-on, de l’amour du prochain.
Que faire ?
A la décharge de ces cinglés - loin de moi cependant l’intention de vouloir prendre ici leur défense !- il faut quand même reconnaître que si on a été élevé avec si peu de Coran que ce soit dans le biberon, il doit être bien difficile de devenir honnête homme.
Il n’y a très peu de sourates dans le Coran qui ne contiennent des appels au meurtre caractérisés. Le rêve actuel des musulmans - et pas seulement de ceux qui passeront aux actes, malheureusement-, c’est une espèce de Saint-Barthélémy aux dimensions de la planète. Exterminer les koufar ! Allah akbar ! Vaste programme ! On n’est, il faut bien le dire, qu’au début du processus. Il va se développer encore un peu mais il trouvera naturellement ses limites : l’obscurantisme, même lorsqu’il s’est armé de la kalachnilov ou du couteau de boucher, ne peut pas aller bien loin.
La fin de l’islam est programmée. Encore quelques années, et ça laissera le même souvenir hideux que le stalinisme ou le IIIe Reich. Vos inquiétudes ne me paraissent donc pas vraiment fondée : cette barbarie immonde sera bientôt vaincue comme tant d’autres.