@Wakizashi
Le capitalisme joue sur deux pulsions : l’acquisition de pouvoir économique, que permet la concurrence, les dérèglementations, et la conservation de ce pouvoir, qui passe par des règlementations en faveurs des gagnants de la compétition, qui passe par un contrôle direct ou indirect des gouvernants (financement politique, entrisme, lobbying, etc... ).
Il y a une étude qui montre que plus les gens sont riches, plus ils ont tendance à se particulariser, à se penser différents des autres et donc de se prévaloir des règles différentes des autres, et réclamer des mesures pour conserver leurs privilèges de riches.
Mais ça les dogmes libéraux sont incapables de tenir compte de tout ceci.
Par ses impensés le libéralisme ouvre de grandes portes aux systèmes autoritaires, il suffit que les demandes autoritaires pour plus de pouvoir, vis à vis des travailleurs par exemple, s’expriment de façon personnelle et non institutionnelle (en y accolant l’étiquette de liberté).
Pour ce qui est du vivant, en fait la première forme participant à la vie c’est la coopération.
Les deux premières l’incorporation des mitochondries pour la respiration des être cellulaires, et l’incorporation des chloroplastes pour les végétaux.
Notre santé repose sur la coopération entre notre corps et les bactéries qui tapissent notre peau et notre système digestif.
Le libéralisme c’est un dogme, c’est aussi un mythe niant le réel.